Voici encore un rêve de mon Fidèle. Comme je l’ai déjà stipulé dans un précédent article, nous sommes en contact depuis plus de quatre années sans jamais nous avoir rencontrés.

N’est-ce pas une belle preuve de fidélité ?

LE METRONOME

Vendredi dernier je me suis présenté à Mylady comme d’habitude vers 14h30. Je ne l’avais pas vue depuis presque une semaine et avais porté pour elle ma ceinture de chasteté. Six jours sans la moindre possibilité de bander ni de me toucher.

Après m’être déshabillé, je me suis présenté à elle, à genoux les mains dans le dos. Elle m’a passé des bracelets aux poignets avant de retirer la cage. Mon sexe s’est alors tendu, ce qui a généré un large sourire de satisfaction de ma Maîtresse.

Elle a quitté la pièce et je suis resté ainsi un long moment à genoux, les mains liées dans le dos.

Lorsqu ‘elle est revenue revêtue d'un peignoir de bain. Elle avait dans la main un petit appareil de la taille d’un paquet de cigarettes, avec un curseur circulaire sur le devant. J’ai reconnu un métronome électronique pour en avoir utilisé un lors de cours de musique. Elle avait apporté avec une paire d’écouteurs pour baladeur à brancher directement sur le métronome. Je me doutais bien que nous n’allions pas jouer de la musique mais je restais interdit.

Elle me mit les écouteurs dans les oreilles puis actionna le métronome. Cet appareil fournit des pulsations suivant la fréquence réglée sur le curseur: de 0 à 200 pulsations par minute soit au maximum trois par seconde.

Mylady m'entraîna ensuite dans sa chambre. Elle s'allongea de côté, releva la jambe supérieure et m'intima de coller ma bouche sur son sexe.

Quel bonheur de me retrouver ainsi à vénérer ma Maîtresse !

Je commençais à lui lécher doucement l'intérieur des cuisses lorsqu'elle m'attrapa un téton et se mit à le tordre à 180°. Je poussai un cri de douleur avant de comprendre ce qu'elle voulait: Elle mit le métronome en  marche – pulsations lentes environ une toutes les deux secondes – et, je me mis à lécher son sexe à ce rythme. Elle appuyait sur ma nuque ou sur mon front  pour m'indiquer la pression à appliquer. Nous restâmes ainsi longtemps; Elle appela son amie, elle aussi Dominatrice, pour lui faire part de sa nouvelle trouvaille. 



Elle lut un magazine (j'entendais les pages tourner); Bref elle prit tout son temps et profita longuement de la situation. Je suivais scrupuleusement le rythme du métronome et les indications des pressions. Elle finit par augmenter le rythme et m'appliqua sa main sur la nuque tellement fort que j'avais du mal à respirer. Elle fut longue à jouir et je pus la sentir et la boire pleinement et ainsi partager son plaisir.

Elle me détacha ensuite les mains afin que je lui fasse un long massage complet.

Jamais auparavant je n'avais éprouvé ce sentiment d'être une chose: j'étais ravalé au rang d'appareil, devant vibrer à la fréquence imposée. J'étais devenu une machine entièrement consacrée au plaisir de Mylady.

Ce métronome est une invention digne de ma Maîtresse: diabolique.

Fidèle

Je tenais à vous faire partager son imagination fertile ainsi que ses images.

Je t’en félicite Fidèle !!!

Les quatre saisons

Connaissez-vous les bienfaits de la nature ?

LE PRINTEMPS

La fraîcheur du soir est destinée à l’esclave, nu, attaché à un arbre à l’écorce tranchante pour lui faire respirer l’air vivifiant avant de l’entraver dans son alcôve pour la nuit.

Egalement en journée, par temps de pluie, profitable pour sa peau et la désaltérer. Patient, après de longs moments, il attend sa délivrance. Sa Maîtresse daigne lui accorder son sourire en le détachant. Heureux de lui prouver sa reconnaissance, il se jette à ses pieds afin de les embrasser de sa langue fraîche et trempée.

Pour le récompenser de son apprentissage à l’endurance, elle lui ordonne de se plier et de lui offrir son échine. Merveilleuse offrande sur laquelle elle inflige des caresses intenses avec une superbe branche de noisetier.

L’esclave est comblé, la Maîtresse, satisfaite de son éducation !!!

Oh ! Soyez remerciée DAME NATURE !!!

L’ETE

Vint le temps, non pas du muguet, mais des orties, fleurs délicieuses de supplices.

Munie de gants noirs, ses intentions le sont autant, la Dame cueille ces beautés devenues sa complice. Ce sublime bouquet frôle les fesses du supplicié, consentant à souhait. Nul besoin de se fatiguer, les belles brûlent au gré des attouchements, allant du dos aux jambes, jusqu’aux entre-jambes. Ses gémissements n’ont de cure, l’esclave doit les supporter le temps de leur dégorgement.

Ce traitement devient quasi quotidien, rien que pour son bien.

Oh ! Soyez remerciée DAME NATURE !!!

A la fin de cette belle saison, viennent à éclore « Les fleurs du mal » De majestueuses roses d’un parfum capiteux et d’épines voluptueuses.

Notre esclave se voit contraint de les vénérer, non pas pour l’embaumer mais pour les honorer. En connivence avec Dame Nature, la Maîtresse les avait choyées pour rendre les épines résistantes et vigoureuses. Il sera obligé de les porter, bien plantées dans sa peau sous son jean et polo en conduisant sa Divine chez ses amies pour prendre le thé. Les épines s’enfoncent dans ses fesses et son dos comme mille aiguilles, mais il ne peut que s’y plier.

Oh ! Soyez remerciée DAME NATURE !!!

L’AUTOMNE

Les feuilles des arbres et les fleurs espèrent un été indien, mais Dame Nature en a décidé autrement. Ciel gris et sombre, menaces d’orages tardifs pour cette saison, la mauvaise humeur de la Maîtresse s’abat sur l’esclave comme la foudre. Il n’a d’autre alternative que d’obéir à ses caprices et subir son courroux.

Les ronces remplacent la paille odorante des senteurs d’été de sa couche. Ses nuits sont longues, tant la douleur emplie son corps meurtri par les bienfaits de sa formation à l’endurance. Ses rêves commencent à se réaliser, rien ne saurait arrêter les sévices de son Aimée. Il ne songe qu’à son bien être, de la servir et la chérir, car il y a si longtemps qu’il l’espérait.

Trois mois de purgatoire pour arriver enfin à l’ultime saison et mériter l’enfer de l’hiver !

Oh ! Soyez remerciée DAME NATURE !!!

L’HIVER

Malgré le feu qui crépite dans la cheminée, il fait froid dans la maisonnée, rien de tel que de couper du bois pour le réchauffer. Nu et toujours entravé, l’esclave se voit obligé de se rouler dans la neige pour se purifier et honorer Dame Nature par ses coups de fouets qui traversent son corps. Sa Maîtresse, satisfaite des bienveillances de son affidé, se délecte des souffrances infligées à cet esclave consentant et heureux de leur prouver combien il leur est dévoué. Son avenir n’aura d’autres soucis que d’obéissance, d’accoutumance, de souffrance pour leur témoigner sa reconnaissance de l’avoir choisi.

-        Je vous appartiens, Oh Déesses de mes sens !

Soyez remerciée DAME NATURE !!!

Soyez remerciée, MYLADY !!!