HISTOIRES VECUES

Mercredi 3 septembre 3 03 /09 /Sep 10:29

La tour ressemble à un grand oiseau de métal blanc qui tend fièrement ses ailes vers le ciel, entouré d'un écran de verdure au cœur même de la ville. Haute de 36 mètres et d'un poids de 1440 tonnes, la géante ne laisse personne indifférent. C'est un sujet de curiosité qui a ses fans et ses détracteurs. Du belvédère, les touristes peuvent admirer le paysage et la fameuse ligne bleue des Vosges immortalisée par Jules Ferry.

 

*************

 

C’est au pied de cette tour qu’aura lieu une première rencontre. Elle sera le symbole d’une liberté qui se perd ou qui se garde. L’homme y est convié pour attendre la Dame sur le parvis. Son anxiété sera telle car il attendra le premier signe de la Dame. Elle s’approchera de lui, quelques secondes suivront avant qu’elle ne lui tende sa main en guise d’approbation. Il comprendra qu’elle l’accepte et se mettra à genoux pour lui baiser cette main tendue. Les badauds seront surpris de cette attitude mais peu importe, ils seront seuls au monde.

La tour de la liberté sera témoin d’une éventuelle relation car rien n’est encore acquis……..

 

Saura t’il perdre sa liberté ?

Saura t’il mériter cet abandon de soi ?

Saura t’elle lui accorder sa confiance ?

Saura t’elle lui prendre sa liberté à tout jamais ?

 

Toutes ces questions restent sans réponses pour le moment.

CARPE DIEM

Par Mylady - Publié dans : HISTOIRES VECUES
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Jeudi 7 août 4 07 /08 /Août 10:32

 

La Déesse aux orties.


Ceci ce passe en France, près de la frontière belge, dans la capitale des Flandres. Nous voici dans un loft, donnant sur une superbe terrasse, avec vue sur une caserne … déjà tout un programme !
Donc, nous sommes Lady Elisa et moi en train de deviser, et de mettre au point notre rituel de domination pour la soirée… Nous avons l'intention de gâter un soumis Bruxellois, de le récompenser pour disons « service rendu ». Depuis quelques mois déjà il est tantôt aux pieds de l’une, tantôt aux pieds de l’autre, selon nos désirs mutuels. C’est un soumis, « aguerri » « éduqué » diplômé Es sciences de la soumission. ! Donc, notre soumis, major de sa promotion (rires) est attendu pour ce soir 19 h… c’est la première fois qu’il aura l honneur d’être disons a nos 4 pieds…oui, nous avons deux chacune, si si je vous assure !
La mise au point du rituel étant faite, nous choisissons ensemble nos tenues et surtout dans quels écrins glisser nos pieds ! En effet, nous sommes toutes les deux très fétichistes des pieds et des chaussures. Multiples essais, habillages déshabillages, échanges d’escarpins, rire, coiffage, maquillage… et le Gsm d’Elisa qui retentit, mince il est l’heure !
Mais nous sommes les Maîtresses du temps aussi, et il est l’heure que Nous désirons qu’il soit ! Et, il est a l'avance ... mais Si je vous assure ! Ainsi sois t’il ! Lady Elisa lui ordonne donc de patienter. Un petit tour des lieux pour parfaire l’atmosphère, bien, tout devient parfait au moment où Lady Elisa allume quelques bougies d ambiance !

Mon amie aborde une très seyante et toute volante mini- jupette de crêpe noir, et mets en valeur, de par ses atouts naturels ; un très joli corsage échancré. Bien, nous décidons que l heure est arrivée et Lady Elisa sonne la « chose » au téléphone pour lui demander pourquoi ce retard !? Pendant que ma chère amie redonne a « chose » le numéro de code et celui de la porte d’entrée, je m éclipse vers la salle de bain pour vérifier ma tenue. Je m observe un moment, mon déshabillé de voile noir a de la peine à cacher ma tenue de dessous, soutien gorge et culotte de cuir noir joliment ajouré ! Mon porte jarretelles de même matière maintien impeccablement mes bas Gerbé, mes escarpins vernis noirs semblent très fier de leurs 10 cm de talon ! Un sourire, une grimace, Yes…. Je me plais !
Je rejoins Lady Elisa au salon, elle a déjà introduit « chose » (elle l’a fait entrer je veux dire, rire).

Il est devant elle, les yeux masqués par un foulard de soie ! Il porte un pantalon clair, une veste de velours noir, cachant une chemise blanche. Lady Elisa lui caresse la joue, il ne bouge pas !
Je le sens étrangement crispé, ému ! Notre hôtesse commence par lui ôter sa veste, déboutonne lentement sa chemise, déboucle son ceinturon et fait glisser le pantalon sur ses chevilles.
Elle le mène vers moi après l’avoir fait mettre à quatre pattes, et lui indique d’un mouvement de sa cravache l’emplacement de mes pieds qu’il baise respectueusement. Puis, elle vient me rejoindre sur le canapé. Je devrais dire nous rejoindre car nous avons une invitée surprise !
Permettez de vous présenter Lady Saphia une superbe jeune Domina, yeux de gazelle, corps de nymphe, peau dorée, d’une autorité gracieuse et naturelle ! Il ne l’a pas vue, pas entendue donc, malicieusement, nous plaçons Ses pieds sous le nez de « chose » ! Un sourire, un baiser aux pieds et ?
Bonjour Dame dont je ne sais pas le nom !
Il a deviné, rires ! Elisa lui retire d’un geste le bandeau, chose lève la tête, une seconde d admiration pour la beauté de la jeune Dame ! Un sourire et la soirée commence !
Nous voici a table, « chose » assume impeccablement le service, et mange a table avec nous, mais a genoux sur un coussin ! Lady Elisa m'a laissé le choix du menu, j’ai opté pour un plat unique afin que nous puissions très vite profiter de la soirée.

C est une soirée d’octobre, très printanière, et nous prenons le café sur la terrasse, nu sous son tablier « chose » nous sert de façon impeccable et va terminer la vaisselle !
Saphia porte une très légère robe noire en maille, qui souligne magnifiquement sa sveltesse, et sa grâce encore juvénile ! La jeune Dame remarque à ce moment les bouquets ramenés par « chose ». Enormes, verts, tout frais cueillis ! Mais ce sont des orties ? Lady Elisa et moi nous échangeons un regard complice et éclatons de rire ! Oui Saphia ce sont bien des orties ! Elle se saisit du bouquet, dont les tiges on été soigneusement isolées par plusieurs couches de papier et d'alu (il sait son boulot le « chose ») et rentre au salon ! Intéressées, nous la suivons. Lady Elisa a aménagé son loft de façon à le transformer, par d’habiles tours de passe en Donjon Higt Tech !
J’aime en particulier une de ses petites tables basses qui semble tout anodine, quand elle vit son existence vanille, mais sait se transformer en splendide banc à fesser !
Je ne vous parle pas de sa salle de bain qui est, je vous assure une véritable salle d’O ! La Maîtresse de ces lieux sais gérer l’espace et conjuguer les genres.
Lady Elisa nous amène « chose » qui était encore en cuisine ! Elle le tient en laisse ce qui ravit la « chose » en question ! Il est par elle même rapidement mis a nu ! (très pratique à ôter ce tablier). Pendant que Lady Elisa sangle très sévèrement « chose » a la table basse, heu, que dis je … le banc a fessés, nous nous installons, Saphia et moi, voluptueusement dans le canapé.

Je vous décris la scène, Elisa est debout, grave, droite et attentive, elle observe d’un œil gourmand, les fesses blanches et tentantes de « chose » ! Ce dernier retenu prisonnier sur le banc, n’a cependant nulle envie d’être libéré et tend sa croupe insolemment ! Lady Elisa sourit, s’approche, le bouquet en main, d’un geste gracile effleure les reins de notre chose ! Le mouvement devient lent, appuyé ! Elisa sourit toujours… Et, soudain elle se dresse sur les pointes de ses jolis petits pieds et entame tout autour de lui une danse des orties ! Ebahies, médusées, Saphia et moi assistons a une scène incroyable !
Elisa est tout a son plaisir, elle nous a oubliées. Et se sert du bouquet comme un chef d orchestre se sert de sa baguette ! Ponctuant sa danse de cinglement d orties sur le corps de "chose", aucune partie ne lui échappe, fesses, reins, dos, épaules, elle est impitoyable ! Je vois les orties s’envoler comme des flammèches, déchirées par la vigueur des coups, voleter et retomber partout dans la pièce, certaines feuilles ont même l audace de venir se réfugier sur sa brillante chevelure ! Mais elle n en a cure et continue d’évoluer avec grâce autour du corps de « chose » qui se tortille et gémit de plus en plus ! Je la vois redoubler d ardeur, elle danse, fouette et cabriole autour de lui ! Ses yeux brillent de joie, de désirs et de domination mêlés! Elle irradie d allégresse et de jubilation, j’ai même l impression de la voir s’envoler, voler ! Soudain, elle s’arête, figée dans son élan ! Elle vient en effet de constater que son bouquet n'est plus, il a succombé à son ardeur et elle ne possède plus que quelques pauvres tiges en main.
Un instant décontenancée, elle se précipite vers le second bouquet ! Mon bouquet !
Et, voila, armée de nouveau, elle entame une autre danse, plus douce, plus lascive le bouquet devient jouet érotique ! Le corps de Lady se penche sur celui de « chose » elle le caresse de son souffle, se ses mots, de sa chevelure. C’est un « pas de deux » qui commence, magnifique, sensuel L’alternance de caresses douces et irritantes comblent le corps de « chose » le font frétiller bien plus que les orties seules !
Ses gémissements deviennent tout autres, nous le voyons se frotter contre le banc… Elisa lui caresse doucement le dos avec les orties, descend sur les fesses, s’arrête, les écarte ! La Dame est presque couchée sur lui ! Cela fait presque une heure qu’elle a commencé cette splendide joute ! Un moment son regard croisse le mien, elle m offre son radieux sourire…se relève, et ?

"Bien, vous ne voulez pas qu’il nous serve un second café?"
Rire ! Alléluia ! Lady Elisa est de retour parmi nous ! Et la soirée a peine entamée « chose » à nous servir (dans tout les sens du mot) disposé !
Il est vrai qu’un café est parfait pour entamer le reste des rejouisances! La Déesse aux orties redevient Elisa et dès cet instant tout est une autre histoire !

Maîtresse Amyitis/ Subtile Domina

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Merci à toi Amyitis pour ce ravissant récit plein d'humour et de vérités.

Je t'embrasse

Mylady

Par Mylady - Publié dans : HISTOIRES VECUES
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Jeudi 23 août 4 23 /08 /Août 20:15

Mylady, Dominatrice provinciale pour laquelle, ce fut la première fois qu’elle franchissait le pas de l’antre du Marquis.

Fouets-chaine.JPG

 

Philippe est très accueillant, prend soin de mes affaires au vestiaire et me fait visiter les lieux. Je suis ébahie par la finesse du décor, des meubles de style, de l’agencement des accessoires SM dans les différentes alcôves. Un jeune soumis, nu, chaîne attachée au collier de son cou reliée par un anneau au sexe, est installé, jambes écartées sur une table de gynécologie. Philippe me confie qu’il est à disposition……

Je continue la visite et découvre un charmant écritoire à plumes, quel merveilleux endroit……… Mon imagination fertile traverse mon esprit avec de délicieux sévices……

Mon hôte me reconduit au salon-bar, je m’installe sur un canapé, un soumis s’assied à mes pieds. Appelons-le Dylaro. Il est muet, baisse les yeux, je ne lui accorde pas mon regard lequel fait le tour de l’endroit.

Sur un canapé à ma gauche sont assis, un Dominateur avec sa soumise, une Dominatrice, une autre femme soumise et un couple de lesbiennes. Ce petit monde se connaît et bavarde à bâtons rompus.

En face, un couple encore inconnu avec plusieurs personnes dont une jeune femme et un homme qui ne me quitte du regard.

J’ordonne à Dylaro de me chercher une boisson, son plaisir étant de me servir et d’être à mes pieds. Les membres commencent à aller et venir d’une alcôve à l’autre, tantôt celles du bas, tantôt celles à l’étage.

Je fume tranquillement ma cigarette et m’abreuve en prenant plaisir à observer ces va-et-vient, écoute la musique et permets quelques mots à Dylaro.

Je lui demande de visiter les lieux et de me faire un rapport de ce qui se passe.

L’homme en face de moi m’envoie un petit signe interrogatoire de la tête, je lui permets de s’approcher, de s’installer sur le tabouret et lui demande sa position : « Je suis soumis, Madame, j’aimerais être fouetté. Si tel est votre désir, ce serait un honneur pour moi de m’offrir à vous. »

Oui ce serait un grand plaisir pour moi et je lui dis : « Va au bar où sont accrochés différents martinets, fouets et cravaches et choisis l’instrument de ta torture. Tu montes dans l’alcôve où se trouve le lit, tu te mets nu et tu m’attends !!! »

Il choisit un fouet à queues multiples, me le présente pour mon assentiment puis monte les escaliers.

Dylaro revient et me raconte ce qu’il a observé. Satisfaite de son rapport, je lui ordonne de rester assis sur le tabouret et me dirige vers l’escalier pour rejoindre l’autre « soumis ". Pour accéder dans la pièce choisie, je passe devant l’écritoire puis une autre alcôve dans laquelle se trouvent plusieurs personnes, silencieuses, je me demandais quelle en est la raison. Je suis obligée de me frayer un passage pour atteindre l’endroit que j’ai choisi. J’ouvre le rideau, « soumis » est couché sur le ventre, nu, le fouet allongé dans son dos en guise d’offrande. J’ai trouvé ce geste sublime et m’empare du fouet. Debout, je me penche vers lui pour lui caresser le dos et les fesses avec mes mains pour m’imprégner de sa peau et de ses frissons. Je sens quelqu’un derrière mon dos, me retourne et je comprends ce que tout ce petit monde attendait. Ils étaient intrigués de voir « soumis » sur le lit, seul, en patientant la venue de celle ou celui qui allait lui infliger ses délices. La pièce est trop petite et je ne permets qu’à un seul couple de rester et leur demande de fermer le rideau derrière eux. J’avais oublié la glace sans teint, mais peu importe. Je commence à caresser les fesses et le dos de « soumis », mais cette fois-ci avec mon fouet en accentuant la cadence et la force des coups. J’entends des murmures de pitié provenant de la femme du couple. « soumis » lui, par contre, reste stoïque et réceptif, bien trop masochiste et fier pour implorer une trêve. Ma force se décuple et le fouet fait des tourbillons, une valse délicieuse qui me donne une satisfaction intense. Je fais une pause, le couple est fasciné (appelons Monsieur : Jo et Madame : Joëlle. Jo me demande d’apprendre à Joëlle comment manier le fouet car il aimerait qu’elle le domine. Après en avoir demandé l’assentiment à « soumis », car il ne m’appartient pas officiellement, je tends le fouet à Joëlle et la guide au maniement. Ce qui fut amusant, est le fait que « soumis » ait de suite constaté la douceur de Joëlle, sans la voir. Je lui reprends l’instrument pour faire comprendre à ce cher homme qui est Mylady, il a saisi la nuance et a même murmuré quelques soupirs de douleur.

Joëlle est satisfaite et me pose un baiser sur la bouche, Jo rêve d’être à la place de « soumis » offert à son épouse. Nous laissons « soumis » sur son lit à se remettre et descendons rejoindre Dylaro, lequel attendait toujours sur son tabouret.

Joëlle s’installe à mes côtés sur le canapé, Jo un peu plus loin. Nous bavardons de choses et d’autres, de leur vie de couple libérée voir très libérale ? Joëlle me prend par la taille et me pose de merveilleux petits baisers dans le cou.

Nous reprenons un verre et quelques friandises en papotant et voilà « soumis » qui revient pour me quémander une nouvelle série de coups. Encouragée par mes nouveaux amis, je m’exécute avec grand plaisir, puis après quelques dizaines de caresses extrêmes, je reviens vers eux.

« Aurais-tu envie de câlins ma chérie ? »  « Oh oui !! Je t’adore Mylady »

J’invite Dylaro et Jo à nous suivre pour assister à nos ébats. Ils ne se sont pas fait prier et « soumis » nous ayant aperçu, ne s’est pas privé non plus. Par contre, je lui ai ordonné de sortir de la pièce et de nous regarder par la lucarne, ce qu’il fit tout penaud.

Joëlle se déshabille entièrement, offerte. Pour ma part, je n’enlève que mon chemisier transparent, mes bottines à talons aiguilles, leur offrant mon buste moulé dans ma guêpière en dentelle noire, ma jupe longue fendue et mes bas noirs. Je m’allonge vers Joëlle, je l’embrasse tendrement en lui caressant les seins que je prends à pleine bouche. Elle gémit de plaisir, ses tétons entre mes dents et ma langue qui leur donne une merveilleuse érection.

Dylaro me lèche les jambes, Jo caresse le sexe de sa femme, « soumis » nous envie. Heureuse, Joëlle se rhabille en m’offrant sa bouche, Dylaro toujours à mes pieds, Jo excité de voir sa femme caressée par une Dominatrice et voilà « soumis » qui en redemande pour la troisième fois. Emoustillée par mes ébats avec Joëlle, j’avais envie de me défouler pour le plus grand plaisir de « soumis »

Nous descendons au salon-bar, heureux et repus et reprenons des consommations pour nous désaltérer. Nous entendons un bruit de fouet et décidons d’assister à cette séance. Le dominateur est accroupi à une distance calculée de sa soumise, laquelle est à genoux sur un tabouret de prieur, nue, droite et offerte aux caresses de ce fouet d’une grande souplesse et long d’environ deux mètres. Le dominateur le manie avec une dextérité jubilante, il claque sans atteindre la peau de sa soumise, le bruit fait frissonner la belle. De temps à autre, avec un effet bien défini, ce merveilleux instrument frôle à peine le dos ou les fesses de la suppliciée et laisse des traces d’un rouge vif, prouvant l’intensité de ce dangereux fouet à ne manier que par un expert.

Je félicite en passant ce Dominateur dont je ne connais pas le nom.

Le club commence à se vider, Jo et Joëlle me saluent chaleureusement, je me décide à partir également en demandant à Philippe de m’appeler un taxi.

« Votre après-midi vous fut agréable Mylady ? » Me demande t’il ?

Oui, elle le fut, la preuve en est que je lui dédie mon récit.

 

A bientôt

Par Mylady - Publié dans : HISTOIRES VECUES
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