Dimanche 10 janvier 7 10 /01 /Jan 20:44


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En ce début d’année, les Vœux affluent de partout. Je ne vais donc pas faillir à la règle, et je vous adresse à toutes et tous, nos fidèles lecteurs et ami(e)s mes Vœux très sincères d’une année 2010 qui vous apporte la réalisation de tous vos désirs profonds, et bien entendu la santé, sans laquelle tout le reste est difficile.

 

Et à ce sujet je veux surtout adresser des souhaits de totale guérison à notre chère MYLADY, qui a connu de gros problèmes en 2009, ce qui explique également que le blog ait connu un ralentissement ..  Il n’est pas facile de gérer un blog depuis un hôpital, car bizarrement il n’y a pas de wifi dans  des Centres hospitaliers pourtant de haut niveau. Alors que ce serait si bon pour le moral des malades de rester en contact avec famille et amis..

 

Je suis sure que toutes et tous vous joindrez à moi pour lui souhaiter une 

 

                                TRES TRES BONNE ANNEE 2010

 

Avec le retour à la pleine santé en priorité ; beaucoup de participants actifs sur le forum, et toujours plus de lecteurs pour le blog ensuite.

 

Si vous avez des histoires à raconter, qu’elles soient vécues ou rêvées, n’hésitez pas à les envoyer à notre amie, afin de l’aider un peu. Je suis sure que beaucoup d’entre vous ont de belles aventures à nous faire partager.

 

MYLADY, nous t’embrassons toutes et tous et te félicitons encore pour le courage et la ténacité dont tu as fait preuve. Nous t’aimons très fort ma très chère amie.

 

LIA
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J'ai mis du temps à répondre à ton magnifique texte ma chère Lia et je m'associe à toi pour souhaiter également une Bonne et Heureuse Année 2010 à nos fidèles lectrices et lecteurs.
Je vous remercie vous toutes mes chères amies pour votre présence et soutien.
Toi particulièrement Lia qui m'a secondé pour faire vivre notre forum et surtout je suis fière de t'avoir comme amie ainsi que vous toutes et tous.
Mylady

Par Mylady - Publié dans : CERCLE DES DOMINATRICES
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Samedi 5 décembre 6 05 /12 /Déc 18:34

 

 

 

UNE NUIT A L’HOPITAL

 

 

Le claquement nerveux des sabots, amorti par l’épais revêtement du sol, était le seul bruit audible dans le long couloir, aux portes fermées, derrière lesquels les malades dormaient enfin, ou essayaient toujours de trouver un sommeil troublé par leurs douleurs. Le Service de Chirurgie B était plein d’opérés suite à de multiples problèmes, membres brisés, hanches ou genoux réparés grâce aux progrès de la chirurgie et aux prothèses qui permettaient à de nombreux impotents de pouvoir retrouver l’usage de leurs jambes. L’infirmière de nuit se hâtait vers une chambre au bout du couloir ; au dessus de sa porte clignotait la lumière rouge indiquant que l’occupant avait besoin d’aide.  Elle était décidée à calmer enfin ce malade récalcitrant qui menait la vie dure à toutes les infirmières du service. Elle avait eu les doléances de plusieurs d’entre-elles. Il avait une prothèse du genou depuis quelques jours et était impossible ! Soit il les agressait verbalement, exigeant, ronchon, ne faisant aucun effort pour participer lorsqu’elles devaient l’aider à se lever, où alors il faisait des propositions égrillardes aux plus jeunes et jolies. Depuis son arrivée il avait mis le service en ébullition, ses « exploits » étaient le sujet le plus fréquent dans la salle des infirmières.

 

 Martine, qui vient de débuter dans l’établissement, n’a nullement l’intention de se laisser faire, Elle !! C’est une grande et belle femme épanouie, métisse au teint à peine bronzé, aux grands yeux en amandes couleur chocolat, dont les formes opulentes tendent la tunique et le pantalon de son uniforme blanc.

 

Elle ouvre la porte d’un geste décidé, s’approche du lit ou M. Paul s’agite :

-        Enfin vous voilà ! ça fait  une demi heure que je sonne, on a le temps de claquer avant que quelqu’un ne se dérange dans ce mouroir !

-        Monsieur Paul vous allez vous calmer immédiatement. Il y a à peine 5 minutes que vous avez sonné, et vous n’êtes pas le seul malade ici.  Que se passe-t-il ?

-        J’ai soif, et je n’ai rien à boire !

-        Vous vous moquez du monde, vous avez une bouteille sur la table, là à côté !

-        La table est trop loin, je ne peux pas l’attraper, et vous êtes là pour me servir, ma ptite dame !

-        D’ailleurs vous êtes nouvelle vous ! je ne vous ai encore jamais vue.. ! beau gabarit .. ! au moins vous vous n’allez pas vous écrouler en me soutenant, comme la maigrichonne qui était là la nuit dernière.

-        Je ne suis pas votre « ptite dame » mon petit Paul, et je ne suis pas là pour vous servir, vous avez juste à tirer la table pour l’amener à vous. Débrouillez vous !

-        Si vous ne voulez pas me servir à boire, vous pouvez peut-être me rendre un autre service, en voyant une belle fille comme vous, il me vient des envies..

Paul soulève le drap pour montrer à la belle infirmière de quelles envies il veut parler, glissant son pantalon de pyjama, il exhibe un sexe en érection. Mais le malheureux ne sait pas à qui il a affaire. Martine rougit de colère, elle se saisit du membre raidi ..

-        ah tu veux que je m’en occupe, et bien tu vas voir comment je fais avec les exhibitionnistes de ton genre.. !!!

-         

Elle sort de sa poche,  un long lien de cuir, et sous le regard effaré et ahuri de Paul, qui en a perdu la parole, elle noue le lacet à la base du sexe, et exécute un magnifique bondage. Se reculant d’un pas pour admirer son œuvre, elle lance un regard acéré à Paul qui ne sait plus quelle contenance adopter.

-        tu as vu ce que j’en fais moi de tes envies ? tu vas passer le reste de la nuit ainsi, bien sagement. Et pour que tu ne sois pas tenté de détruire mon œuvre, je vais t’attacher également les mains !

 Elle exhibe une pelote de ficelle, en passe un morceau autour de la taille du patient -qui mérite enfin ce nom - puis lui attache les poignets ensemble surl’abdomen. Paul commence à récupérer un peu de sa surprise, mais il est dompté, et regarde avec un mélange de crainte et d’admiration celle qui vient de l’immobiliser en un tour de main. C’est avec une petite voix qu’il essaie d’attaquer :

-        vous savez que je vais vous faire renvoyer pour cet exploit ? j’en parlerai au directeur dès demain.

-        Le directeur ?? ne te fais pas de soucis, je m’en occupe aussi. Tu vas te tenir tranquille, sinon je te promets que je reviens, et que cette fois je te ficelle comme un saucisson, et avec un bâillon en prime, Compris ??

-        Oui belle enfant, je vais être sage, c’est amusant au moins avec toi, tu mets un peu d’animation dans ce sinistre hôpital :

Martine lui applique une gifle qui claque dans le silence, Paul est à nouveau bouche bée

-        je ne suis pas plus ta belle enfant que ta ptite dame, je suis Madame Martine, et ne te permets surtout plus de me tutoyer. Sinon je vais te dresser moi !

Sidéré, estomaqué, Paul se recroqueville dans le lit. Il ne comprends plus rien, mais d’un seul coup il se sent tout petit, infantile devant cette belle créature qui vient de l’écraser littéralement. Martine remonte la couverture sur Paul, qui ne peut retenir un mouvement de crainte quand elle se penche sur lui. Il est totalement en son pouvoir.

 

Avec un sourire triomphant, elle quitte la chambre, satisfaite, il ne lui a pas fallu plus de 10 minutes pour calmer l’énergumène. Elle regagne à grand pas son bureau, fermé à clé. Quand elle y pénètre son regard se porte immédiatement dans le fond de la pièce, près du radiateur. Un homme nu, à genoux sur une règle, mains sur la tête, est attaché au radiateur par une laisse reliée au large collier de cuir qui encercle son cou.  Il tourne vers elle un regard dans lequel se mêlent admiration, vénération, et interrogations.

-        Ca va, je l’ai calmé ton Monsieur Paul, il est maintenant tout sage, attaché dans son lit et je suis certaine que désormais vous n’aurez plus de problèmes avec lui dans ce service.

-        Merci Maîtresse, comme je suis heureux de Vous avoir embauchée ici. Non seulement j’aurai maintenant le bonheur de Vous avoir tous les soirs près de moi, mais en plus vous réglez mes problèmes.

-        Pff ! même pas capable de maintenir l’ordre avec des malades, tu me fais un beau directeur !

-        Mais l’autre m’a excitée avec son sexe à l’air, je te détache et tu vas me soulager un peu.

Elle débloque la laisse du radiateur puis va s’installer dans un large fauteuil, après avoir baissé son pantalon et le joli slip en dentelle qui se cachait dessous. Le directeur rampe vers elle avec un air extatique. Sa Maîtresse est en effet bien mouillée, il lape, lèche, savoure, caresse, sa langue s’enroule avec adresse autour du clitoris turgescent, et en quelques minutes procure un magnifique orgasme à sa Maîtresse. Un long gémissement averti le directeur de l’instant magique, et il veille a recueillir chaque goutte de la délicate liqueur. Puis il la regarde tendrement redescendre du 7ème ciel.

-        tu as bien travaillé mon petit dirlo, tu vas avoir droit à une belle récompense !

 

Martine se saisit sur le bureau  d’un vase dans lequel elle se soulage. Son abondant champagne coule, mêlé de ciprine, sous les yeux gourmands de son soumis. Elle lui tend le récipient dans lequel il plonge avidement. Il boit, avec délectation, la délicieuse boisson dont  il est friant.

-    Tu as été gâté ce soir, tu vois que tu n’as pas à regretter de m’avoir donné cette place  . J’espère que le salaire sera proportionnel aux efforts que je fournis !

-        Maintenant tu vas te rhabiller et vite aller retrouver ta chère épouse qui doit trouver que tu travailles bien tard cette nuit. Moi je vais continuer mon travail, j’espère que tes malades vont être sages.

-        Oh Maîtresse, Vous savez combien je préférerais rester à vos côtés, mais ce n’est malheureusement pas possible, il faut que je sois prudent. Je ne peux pas prendre trop de risques. Mais demain soir je serai là, à vos pieds.

-        Files, tu m’agaces !  Mais pas avant de me les avoir embrassé mes pieds.

Le directeur tombe à genoux, avec une petite grimace - la règle a laissé des traces douloureuses – et baise délicatement les pieds adorés que Martine a sorti de ses sabots. Elle déteste cette partie de sa tenue d’infirmière, elle préférerait de beaucoup être en bottes ou talons aiguilles, mais hélas c’est la règle.. Donc, elle s’y plie. Pas la peine d’avoir des problèmes pour si peu.

 

Son patron et soumis enfin parti, elle fait un peu de toilette, remet sa tenue en ordre, et fait réintégrer le bonnet à ses boucles brunes. Elle vérifie qu’aucune lumière n’apparaît sur le tableau d’appel, puis se dirige à nouveau vers la chambre de Paul.

Quand elle entre dans la pièce, il a un tout autre regard que la première fois. Presque craintif.

-        alors mon petit paul, tout va bien depuis tout à l’heure ?

-        oui Madame, mais .. mais …

-        Mais quoi ? tu bafouilles maintenant ? je t’intimide ??

-        Oui Madame, enfin non, enfin j’ai envie

-        Encore envie ? ça ne t’a pas suffit ma mise au point ?

-        Non Madame, si Madame, ce n’est pas ça, j’ai besoin … d’aller aux toilettes..

-        Tu ne pouvais pas le dire plus tôt ? je te détache, je t’aide à te lever, et ensuite tu te débrouilles, ne compte pas sur moi pour faire comme les autres petites que tu tyrannises.. tu as des cannes, le kiné t’a appris à t’en servir, alors montre moi de quoi tu es capable.

-        Oui Madame, merci Madame.

 

Martine défait les liens, le sexe est un peu violacé après être resté attaché près d’une heure, bien qu’elle n’ait pas beaucoup serré. Un soupir de soulagement s’échappe des lèvres de Paul. Il pivote dans le lit, et s’appuyant sur l’épaule secourable, il se glisse en bas du lit. Puis tant bien que mal, en utilisant maladroitement  ses béquilles, il gagne la salle de bains. A son retour, il semble déjà plus assuré.

-        Et bien tu vois, quand tu veux, tu te débrouilles très bien. Tu n’es qu’un sale vicieux qui prenait plaisir à ennuyer les gentilles petites infirmières.  Tu n’as pas intérêt à recommencer, tu es prévenu, je leur demanderai chaque soir comment tu t’es comporté. Si elles ont le moindre reproche à formuler à ton égard, tu seras puni !

-        Oui Madame, je vous promets de ne plus les ennuyer, mais j’espère que vous viendrez quand même me rendre visite. Vous m’avez fait découvert quelque chose de merveilleux. Je voudrais être à Vous. Je ferai tout ce que vous voudrez.

-        De belles résolutions à ce que je vois. Nous en reparlerons. Pour l’instant au lit !!!! Voilà une petite pilule qui va te faire dormir comme un bébé. Fais de beaux rêves.

Paul avale sagement le médicament, s’enfonce sous la couette, et avec un tendre regard, dit bonsoir à son infirmière.

 

Martine repart, tranquille, avec le sentiment du devoir accompli. Ce métier d’infirmière c’est vraiment sa vocation !


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Si Maîtresse Lia n'avait pas autant  d'imagination nos lecteurs seraient déçus car en ce moment, je suis un tantinet dans l'incapacité d'écrire et je la remercie amicalement. 


Je t'embrasse très fort ma Lia
Mylady 



Par Mylady - Publié dans : RECITS
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Dimanche 29 novembre 7 29 /11 /Nov 13:37


DOUCE SOIREE

 

 

C’est la fin de l’été ; les jours sont nettement plus courts, mais il fait encore très chaud, le soleil a décidé de distribuer généreusement le reste de son stock de rayons. Dame Lydie avait invité son soumis jim a passer le w.end chez  elle pour profiter du beau temps et en même temps travailler au jardin.

 

Jim avait bien oeuvré : arracher et cueillir les derniers légumes, tailler les arbustes, etc.. Dame Lydie l’avait admiré tout en se baignant dans l’eau fraîche de la piscine, ou en se délassant sur une chaise longue. Elle appréciait d’autant plus de le voir transpirer sous le soleil qu’elle avait ajouté un petit accessoire à sa tenue, elle lui avait demandé de fixer à l’envers de son t-shirt, à hauteur des seins, des carrés de papier de verre. Chaque mouvement frottait les tétons contre l’irritant papier, et la transpiration ne devait pas arranger les choses. Il lui lançait de temps à autre un coup d’œil suppliant qu’elle ignorait superbement.

 

A 16h elle l’autorisa à prendre un peu de repos, un verre de bière, et  un quart d’heure de trempette dans la piscine. Elle pu constater que le frottement avait exacerbé les tétons qui semblaient avoir doublé de volume, et prit un malin plaisir à les tordre longuement à sa sortie de l’eau, réduisant à néant les bienfaits de la fraîcheur de l’onde. Puis Elle le remit au travail :

-        fini le farniente mon petit jimmy, il faut maintenant tout rentrer, passer un coup de râteau, nettoyer et ranger les outils.

-        Ensuite tu pourras prendre ta douche, et tu viendra me rejoindre avec juste un t-shirt propre que te t’ai préparé. Je vais pouvoir terminer mon livre en t’attendant.

-        Bien Madame, je m’exécute, je fais aussi vite que je peux car j’ai hâte de me retrouver à vos jolis pieds.

 

 Elle le regarde se remettre au travail avec un petit sourire ironique.. Jim qui a surpris ce sourire se pose des questions, lui aurait-elle encore préparé une de ses surprises.. ? Il ressent un petit creux dans la poitrine, espoir ? crainte ?  anxiété plutôt.. Bof il verra bien, il se fait peut-être des idées pour rien. Il a bien travaillé aujourd’hui et a fait tout ce qu’Elle a demandé, avec empressement et tout son Amour. C’est un tel bonheur pour lui de LUI obéir, de LA satisfaire, de LA voir heureuse et détendue comme maintenant. Il se hâte, le soir tombe déjà mais tout est fait. Il va déposer un tendre baiser sur l’épaule nue de sa Maîtresse plongée dans les dernières pages de son bouquin.

-        Ma très chère Divine, j’ai terminé, et je vais aller prendre ma douche comme vous me l’avez ordonné. Je suis là dans un quart d’heure, à vos pieds.

-        D’accord, ce soir je vais faire des grillades et des papillotes de saumon, il faudra rallumer le barbecue.

-        Hummmm, vous savez que j’adore cela, vous êtes la plus merveilleuse des Maîtresse !!

 

 Il s’envole vers la salle de bains, heureux comme un enfant à qui on a promis un bonbon. Lydie s’amuse en pensant à ce qu’elle lui réserve. Il risque d’être un peu déçu.

Elle range son livre, enfile un lainage car il commence à faire plus frais, et va préparer ses papillotes, une salade au chèvre chaud, quelques saucisses et merguez. Elle a à peine terminé quand jim arrive, souriant, les cheveux humides, sentant bon le gel de douche. Elle lui jette un regard courroucé  sous lequel le sourire de jim s’éteint.

-        Mais c’est MON gel de douche que tu as utilisé !!!

-        oui Madame, excusez moi j’avais oublié de prendre le mien, et j’étais déjà mouillé, je n’ai pas voulu ressortir de la douche, alors j’ai pris le vôtre, c’était si bon de sentir ce parfum, c’était un peu de Vous.

-        Tu n’as pas à utiliser Mes produits sans mon autorisation, tu vas être puni pour cela,

-        Et je t’avais dit de mettre le t-shirt que je t’avais préparé, ce n’est pas celui-ci !

-        Toutes mes excuses Madame, je n’avais pas fait attention à cet ordre. Je vais aller me changer.

-        Je t’avais également dit de revenir avec JUSTE le t’shirt, or je constate que tu porte un slip.

Jim se jette aux pieds de sa Dame et les embrasse tendrement, désespéré .. 

-        Oh Madame, que de fautes j’ai accumulées en un instant !

-        Oui jim, tu as raison, et il va falloir payer. Tu vas dans la chambre, et tu m’attends, nu, avec collier et bracelets !

 

 Lydie se réjouit à le voir repartir tout penaud, elle espérait bien qu’il allait commettre une faute dans sa tenue, il a été au delà de ses espoirs. Elle va pouvoir appliquer la punition qu’elle a mijotée. Elle enfile une tunique légère dans laquelle elle se sent à l’aise, des sandales à hauts talons et rejoint ce pauvre jim qui doit trembler. Quand elle pénètre dans la pièce, il se jette à genoux devant elle :

-        pardon, pardon, Madame, je vous promets que désormais je ferai très attention à Vos paroles quand Vous ordonnez. Et je ne toucherai plus jamais à Vos produits.

          Sans un mot elle s’assoie sur le rebord du lit, et lui fait signe de s’approcher, ce qu’il fait à genoux, n’osant se relever sans son ordre. Elle lui bande les yeux puis intime :

-        Etends toi sur mes genoux !

Jim se redresse puis s’incline et pose son buste sur les cuisses de sa Dame, appréciant en même temps de ressentir la douce tiédeur de la chair au travers du tissus léger.. Il n’a pas longtemps le loisir de savourer, car la main de Lydie s’abat vigoureusement sur le fessier tendu, les claques crépitent faisant monter crescendo la température des globes offerts ; jim ne peut s’empêcher de gigoter sous l’averse brûlante. Enfin Lydie finit par avoir mal aux mains, et ordonne à jim de se redresser.

-        maintenant allonge toi sur le lit, à plat ventre !

-        bien Madame, mes fesses sont en feu, vos mains peuvent être si dures et parfois si douces….

Dès qu’il est étendu Lydie l’immobilise en écartant ses membres au maximum et en les fixant aux montants du lit. Elle l’admire un moment,  puis le caresse doucement, ses mains  volettent, effleurent toutes les parties de ce corps offert, qu’elles connaissent si bien maintenant. Elles s’attardent sur les fesses rougeoyantes, glissent le longs de la colonne vertébrale, des frissons parcourent la peau sous ces attouchements voluptueux. Parfois les ongles griffent les flans, les cuisses, les mollets, chatouillent la plante d’un pied, ou une nuque offerte, parfois ce sont de petits baisers qui se posent ici ou là, comme de doux papillons. De tendres soupirs s’échappent de la poitrine du « supplicié » qui semble prendre grand plaisir à ce traitement.

 

Mais les meilleures choses ont une fin, Lydie s’est saisie d’un martinet à longues lanières et commence à réchauffer les fesses qui avaient perdu un peu de leur vermillon, elle cingle le large dos, strie les cuisses de rayures rouges, le corps ondule sous les mordantes caresses, tirant sur les liens et faisant grincer le lit.  Les soupirs ont changé de registre, et tiennent davantage du gémissement de douleur que du murmure de plaisir, Lydie savoure ces plaintes, Elle module ses coups, le martinet se fait parfois caressant, glissant sur la peau comme ses mains tout à l’heure, parfois il se déchaîne au bout du bras de Lydie qui prends un réel plaisir à lever très haut l’instrument avant de l’abattre de toute sa force sur les fesses qui sursautent sous l’impact acéré. Elle repose le martinet, effleure tendrement de la main les fesses enflammées puis termine en apothéose par quelques coups de la cravache en micocoulier, souvenir de récentes vacances. Jim ne peux retenir ses cris sous les impacts du douloureux final.

 

Lydie le laisse se reposer un moment, elle s’étend à ses côtés, il tourne son visage vers elle, et murmure :

-        Merci Madame, vous avez été sévère mais je l’avais mérité. Je peux vous demander quelque chose s’il vous plait ?

-        Quoi donc jim ?

-        Je voudrais vous embrasser Madame.. je vous aime tant …

Comment refuser une telle demande ? un tendre baiser rassemble Domina et soumis dans un instant d’éternité.

 

Jim est libéré de ses attaches, mais il a toujours le bandeau. Lydie s’approche de lui :

-        je t’ai préparé un joli slip, tu vas prendre appui sur mes épaules pendant que je t’aide à l’enfiler, lèves le pied droit.. voilà, le gauche maintenant.

Elle fait glisser le vêtement le long des jambes, puis l’ajuste sur le bassin de son soumis, qui semble assez surpris. Elle lui enlève le bandeau, il regarde le slip, plutôt classique, noir brillant, très moulant.

-        vas te regarder dans le miroir !

Il s’exécute mais dès le premier pas il vérifie la première sensation qu’il avait eue lorsque le slip s’était positionné sur ses fesses, chaque mouvement entraîne une brûlure intensifiée de ses rondeurs marquées par le martinet et la cravache.

-        Oh Madame ! ça brûle ! c’est terrible.. c’est bien pire que le papier de verre sur mes tétons.

-        Ce ne sont que des tampons à récurer, tu sais les carrés verts qui grattent …

-        L’effet est très pénible sur mes fesses que vous avez si bien maltraitées Madame.

-        Et maintenant file allumer le barbecue, j’ai faim moi. L’effort physique m’a affamée. N’oublie pas ton t-shirt j’ai mis de nouveaux papiers de verre, un peu plus râpeux.

 

          Jim l’enfile, effectivement l’effet est plus puissant qu’avec celui qu’il avait tantôt, mais c’est moins dur que sur les fesses, il sort de la pièce en se dandidant, il ne sait comment faire pour éviter le frottement qui le torture. Il prépare le barbecue en mesurant ses pas, heureusement qu’il a tout à portée de main ou presque. Il se demande maintenant comment il va faire pour s’asseoir à table avec son slip renforcé. La position assise ne doit pas être très agréable.

 

Quand Lydie arrive avec son plateau, la braise est chaude à point. Il installe soigneusement les aliments à cuire, puis mets le couvert sur la table à proximité. Les effluves le font saliver. Lydie a à nouveau ce petit sourire qui l’avait troublé tout à l’heure.. Elle va prendre un rouleau de corde qu’elle avait déposé à l’autre bout de la terrasse.

-        jim va t’appuyer contre le pilier, celui qui est le plus proche du barbecue.

-        Oui Madame, mais… que voulez vous faire ?

-        Oh tu va le voir bien assez tôt, mon cher petit jimmy

Elle commence par lui poser 2 petites pinces sur la base des tétons en laissant la pointe libre, puis rabat le t-shirt.  Elle fixe une extrémité de la corde à l’anneau du collier puis le passe par-dessus un morceau de poutre, tire très fort afin de l’obliger à se mettre sur la pointe des pieds,  ensuite entoure la taille, puis repasse plusieurs fois à la hauteur des seins en immobilisant les bras et en serrant bien de façon à bien écraser le papier de verres contre les tétons. Un gémissement échappe à jim, puis un autre lorsque la corde vient entourer ses fesses et les serrer contre la poutre.  Enfin Lydie se recule un peu et admire son chef d’œuvre..

-        te voilà ficelé comme un saucisson  jimmy, surtout ne bouge pas ! sois bien sage. Moi je vais aller dîner, j’ai l’estomac dans les talons.

 

Sous les yeux écarquillés de son soumis, Lydie s’installe à table, et commence à manger tranquillement, en lui racontant ses sensations gustatives..

-        ce saumon est un régal, si tu savais ! les petits légumes fondent dans la bouche… Et le reste du vin de midi se marie parfaitement avec !

Elle mange les 2 papillotes, en prenant quand même la peine d’aller en donner une bouchée à jim afin qu’il puisse juger de ce qu’il manque.  Elle se régale ensuite de la salade et d’une saucisse, jim n’ose rien dire mais il est visible à ses mimiques qu’il n’apprécie que moyennement la plaisanterie de sa Maîtresse. Elle lui fait boire la dernière gorgée de vin de son verre. Puis débarrasse la table :

-        tu vois je suis gentille, je fais ton travail ! mais pour une fois tu as une raison valable de ne pas le faire. Je te laisse la vaisselle pour tout à l’heure.

-        Madame vous êtes sadique, vous me torturez, je suis mort de faim moi ..

-        Mais voyons, tu n’aurais pas pu dîner à table avec moi, cela t’aurait fait trop mal aux fesses d’être assis sur une chaise. Sois tranquille tu auras à manger tout à l’heure.

 

Lydie a disparu à l’intérieur de la cuisine. Jim se pose des questions, qu’invente-t-elle encore. Pourvu qu’elle le détache et lui donne quelque chose à manger, il a si faim que même un morceau de pain lui paraîtrait un régal. Enfin la revoici. Elle promène ses doigts sur le corps tendu, l’excite longuement en frottant une corde sur son sexe, mais il n’a plus qu’une idée : manger.. L’avoir ainsi regardée se régaler en étant douloureusement immobilisé a augmenté son appétit dans d’étranges proportions. Elle déroule la corde, lentement, en appuyant  sur les points sensibles ; il peut à nouveau poser ses pieds en entier sur le sol, le sang qui re-circule lui provoque des fourmis dans les jambes, ses fesses lui semblent être en sang, et ses tétons doivent mesurer plusieurs centimètres. Pour finir Elle enlève sans beaucoup de précautions les pinces des seins, il saute sur place sous la douleur fulgurante.

 

Pendant qu’il se remet de son séjour contre la poutre, Lydie est repartie à la cuisine. Lorsqu’elle revient elle porte une gamelle de chien, remplie des restes du barbecue, salade, merguez et saucisses coupées en petits morceaux, le tout bien mélangé. Elle pose la gamelle par terre au milieu de la terrasse, et ordonne :

-        voilà ton dîner, tu vas le déguster à quatre pattes, les fesses en l’air comme cela tu n’auras pas mal, et sans couverts bien entendu.

Elle pose un bol d’eau près de la gamelle et ajoute :

         -    Dépêche toi de manger,  ensuite tu finiras le rangement, et la vaisselle. Moi je crois    que j’ai trop bien mangé, je vais aller m’allonger, tu viendras me rejoindre quand tu auras fini.

-        Peut-être, si tu es bien sage, auras tu droit à une petite récompense !


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Merci ma chère Lia pour ce beau récit, nos lecteurs devaient être impatients de lire ce nouveau texte d'écrivaine avertie comme toi.
Je t'embrasse très fort*
Mylady 

 

Par Mylady - Publié dans : RECITS
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Samedi 24 octobre 6 24 /10 /Oct 10:19

VISITE DE VACANCES

 

 

         Les vacances de Dame Lydie et de son soumis jim touchaient à leur fin. Il faisait un temps merveilleux dans cette région de Perpignan, ils avaient pu faire de magnifiques promenades et se bronzer sur les plages. Jim avait connu quelques moments pénibles avec sa CB sous son maillot de bain, d’autant que Lydie prenait un malin plaisir à s’installer au fond de la plage ce qui l’obligeait à la traverser pour aller se baigner, il courait chaque fois qu’elle l’autorisait à nager un moment, et avait néanmoins l’impression que tout le monde voyait la bosse bizarre . La première fois il s’était enroulé dans sa serviette, mais elle lui avait ordonné de la poser près d’elle ne lui laissant que le sprint pour risquer le moins longtemps possible les regards curieux. Heureusement ils ne connaissaient personne et nul ne s’était avisé de poser des questions.

 

Ce jour là elle lui annonça qu’ils allaient aller visiter une petite fabrique, refusant tout net de lui dire ce qu’il s’y fabriquait. Juste que c’était près d’Argelès, et qu’ils déjeuneraient auparavant dans un restaurant, proche de la plage, qu’elle connaissait. Elle lui ordonna de mettre son maillot de bain et un short court pour bien profiter des derniers moments de soleil avant le retour. Elle-même portait une jolie robe légère qui mettait en valeur son bronzage, avec un grand décolleté qui provoqua, quand il la vit arriver, une érection vite réprimée par la cage. Il ne put s’empêcher de lui demander si elle voudrait bien la lui enlever pour ce dernier soir de vacances. Elle lui lança un regard noir sans répondre. Le pauvre jim n’osa pas insister et se hâta d’aller chercher le sac de plage, et de précéder sa Maîtresse afin d’aérer un peu la voiture que le soleil matinal avait déjà bien surchauffée.

 

Ils se baignèrent un moment, savourant ces derniers moments dans une eau idéalement tiède et firent ensuite un délicieux déjeuner de fruits de mer. Au milieu du repas, elle lui ordonna d’aller aux toilettes, d’enlever son slip et de le lui ramener. Il obéit sans discuter bien entendu, et au retour lui tendit le slip roulé en boule dans le creux de sa main.

-         poses le sur la table !

-         oui Madame, voici..

La petite boule noire était désormais sur la table entre leurs deux couverts, elle joua négligemment avec, le déroulant, l’étalant, il jeta un coup d’œil sur les tables environnantes, heureusement personne ne semblait faire attention.  Mais voici que le serveur revient débarrasser la table. Il enlève les assiettes sans sembler voir le slip mais regarda jim avec un petit sourire complice ; puis s’adresse ostensiblement à Lydie en demandant :

-         Madame désire-t-elle un dessert ?

-         Oui apportez nous des coupes glacées comme celles de la table à côté, elles semblent délicieuses.

-         Bien Madame, tout de suite !

Lorsque le garçon revient avec les glaces, le slip est toujours sur la table, il pose négligemment son plateau dessus, le temps de déposer les 2 coupes face à eux, jim est cramoisi. Le serveur qui le remarque lui sourit en lui disant :

-         il fait chaud, la glace c’est l’idéal pour rafraîchir..

Lydie semble s’amuser beaucoup, elle reprends le slip et le glisse dans son sac à main.

-         je te le rendrai plus tard, tu n’en as pas besoin tantôt.

-         Bien madame, c’est Vous qui décidez.

 

Après le repas, elle lui donne un papier sur lequel est indiqué l’adresse de la fabrique où il doit aller. Il règle le GPS, c’est tout près mais ne connaissant pas du tout l’endroit, il trouve plus facile de se laisser guider.

Ils arrivent très vite à destination. En voyant le nom il commence à comprendre. Un petit frisson le parcourt. Les Micocouliers ça évoque immédiatement dans son esprit quelque chose de douloureux ! Espérons qu’il ne s’agit que d’une simple visite pense-t-il, dubitatif.. Sa Maîtresse a un petit regard en coin malicieux, comme si elle lisait dans ses pensées.

-         La visite de cette entreprise devrait être intéressante, tu ne penses pas jim ??

-         Certainement Madame, très intéressante.. admirer le savoir faire est toujours passionnant.

-         Il y a même un magasin de vente des produits mon cher petit  jimmy.

Jim a froid subitement sous ce grand soleil, c’est bien ce qu’il craignait !! elle veut faire des achats, il a la désagréable sensation que la dernière soirée de vacances va être dure.

 

Jim lui emboîte le pas, sa Maîtresse semble avoir hâte d’entrer dans ce lieu qui l’inquiète beaucoup quant à lui .. Une bonne odeur de bois est la première sensation en entrant. Ils sont pris en charge par un guide qui leur montre le bois, la façon de le couper, leur explique ce qu’est ce bois de micocoulier qui ne pousse que dans cette région, et qui peut se travailler pour en faire  cravaches et fouets pour toutes les grands haras, les écoles de cavalerie, les cirques et tout ce qui peut utiliser ces instruments. Ils voient le bois se tordre, se tresser, sous les mains expertes, les cravaches prendre forme, les fouets s’allonger avec leur cuir tressé. Jim ne peut s’empêcher d’imaginer la douleur que doit causer un fouet de 3 ou 4 mètres de long comme ceux là ; rien que d’y penser il en frissonne, il a du pâlir à cette évocation car sa Maîtresse lui demande doucement s’il va bien..

La visite des ateliers se termine, leur guide les informe qu’ils peuvent acheter la plupart des modèles qu’ils ont vu fabriquer dans le magasin de vente contigu. Le regard de  Lydie s’illumine, et son pas s’accélère en se dirigeant dans la direction indiquée. Jim traîne un peu à la suivre, il y a plein de choses qu’il aurait soudain encore envie de voir ..

 

Lydie regarde tous ces objets avec les yeux d’un enfant devant les vitrines de Noël. Elle prends les cravaches en main, les fait claquer, soudain alors qu’il s’y attends pas elle lui cingle les cuisses avec une de ces cravaches qu’il vient de regarder fabriquer, il gémit sous la douleur, elle fait vraiment mal. Il comprend soudain pourquoi sa Dame a exigé qu’il porte un short court ! elle est diabolique ! et voilà qu’elle teste chaque cravache qui la tente.. il essaie de s’éloigner un peu, mais elle le rappelle d’une voix ferme. En passant devant un miroir il peut constater que l’arrière de ses cuisses est strié de belles marques bien rouges. Et en même temps il voit le reflet d’un visiteur qui les regarde, visiblement intéressé. Lydie aussi a remarqué l’intérêt de l’homme, elle lui fait un grand sourire, il sourit en retour, mais une légère rougeur a envahi son visage. Il s’approche d’Elle, et murmure :

-         Bonjour Madame, vous semblez aimer utiliser ces beaux instruments.

-         Oui bien sur que j’aime, et vous ? aimez vous aussi ? de la même manière que moi ou comme jim qui essaie de cacher ses cuisses contre le présentoir ?

-         Hummm, j’aimerais avoir quelqu’un qui essaie sur moi comme vous le faites Madame !

-         Cela signifie que vous aimeriez être soumis mais n’avez pas encore trouvé celle qui vous passerait un collier au cou ?

-         C’est exactement cela Madame, je vous ai suivis de loin depuis votre arrivée dans la fabrique, et dès le premier regard j’ai compris quel était le lien entre vous deux. Si vous saviez comme je l’envie ..

-         Jim, tu veux bien aller régler ces 2 cravaches je te rejoins dans un instant ?

-         Bien sur Madame (ouf .. plus de nouveaux essais sur mes cuisses)

-         Monsieur, nous sommes en vacances près de Perpignan, mais nous repartons demain de bonne heure, si vous le souhaitez vraiment je vous attendrai dans 2h à notre hôtel dont voici la carte. En présence de mon soumis bien sur. A vous de voir !

-         Madame, quel bonheur vous m’apportez, j’y serai croyez moi. Mon prénom est Philippe, voici ma carte également.  A tout à l’heure.

-         Mes respects Madame, j’en rêve déjà …

 

Philippe après un baise-main impeccable s’éloigne. Jim, tout à sa satisfaction d’en avoir fini avec les coups d’essais de cravache, n’a pas fait attention à l’échange entre sa Maîtresse et l’inconnu. Elle le rejoint d’ailleurs très vite. Lorsqu’ils se réinstalle dans la voiture, le cuir brûlant des sièges est pénible pour les cuisses de jim qui se tortille.. Sa Maîtresse le prends en pitié et lui passe un foulard  qu’elle avait oublié sur le siège arrière. Il l’intercale avec soulagement entre le cuir et ses cuisses et remercie très sincèrement sa Dame. Elle sourit en pensant à la surprise qu’elle lui réserve tout à l’heure.

 

En rentrant à l’hôtel elle décide de prendre une douche pour se rafraîchir, quand elle en sort, jim l’essuie soigneusement, avec amour et respect, sa cage devient un enfer dans ces moments. Lydie l’autorise à prendre sa suite dans la salle de bains, en ignorant son regard implorant. Elle se dit que s’il se conduit bien devant Philippe elle lui enlèvera ce soir cette cage qu’il supporte depuis plusieurs jours. Avec la chaleur ce ne doit pas être une partie de plaisir. Mais il est si soumis, si sage quand il la porte … !!

 

Après la douche elle a enfilé  une fine tunique longue qui souligne ses formes, un léger maquillage, elle est prête.. Jim lui ne doit porter que son string, il en a l’habitude, cela ne le gêne pas. Elle lui met son collier et l’autorise à s’allonger à ses pieds qu’ elle les pose sur son torse, devant le canapé où elle s’est installée pour un petit moment de repos. Ils somnolent tous deux, dans un bien être qu’ils savourent..

 

Soudain quelques coups discrets à la porte. Jim sursaute et se lève d’un bond.

-         va ouvrir jim !

Ce doit être Philippe pense-t-elle en surveillant la réaction de jim à l’ouverture de la porte.

-         bonjour jim, je suis philippe, votre Maîtresse m’a invitée

 

Jim, qui a reconnu dans le visiteur l’inconnu qui les regardait l’après midi, jette un regard interrogateur et inquiet à sa Maîtresse.

-         Oui jim, fais entrer philippe.

-         Philippe je me demandais si tu oserais vraiment venir.

-         Madame, votre invitation était de celles qui ne se refusent pas ! même si elle  doit être sans lendemain, à mon grand regret.

-         Jim tu veux bien téléphoner pour que l’on nous apporte une bouteille de champagne !

-         Bien sur Madame..

 

Jim ressens une sourde douleur : que vient faire cet homme ici ? pourquoi sa Maîtresse l’a-t-elle invité ? Lui qui pensait passer une fin de journée dans la tranquillité, seul avec sa Maîtresse, à espérer qu’elle lui enlève la CB pour le dernier soir.. C’est fichu sûrement !

 

Durant ce temps, Lydie interroge Philippe, elle veut tout savoir sur lui, sur ses expériences, bien rares d’ailleurs : Elle est en train de réaliser un de ses plus beaux rêves lui dit-il. Lorsque le serveur arrive avec la bouteille et que jim lui ouvre, en string et avec son collier, il semble un peu surpris, mais après tout des clients bizarres il en a déjà vu pas mal. Il lui donne le plateau avec  la bouteille et les 3 flûtes et se retire.

Jim rejoint sa Dame et l’invité. Il s’agenouille près de la table basse pour ouvrir le Champagne et fait le service. Il tend le premier verre à  Sa Maîtresse en lui offrant son regard plein de questions, elle a un petit sourire coquin et tendre. Il se sent un peu rasséréné, et donne la deuxième à Philippe qui le regarde avec amitié.

-         tu peux te servir aussi jim, je suis contente de toi.

Ils boivent tranquillement, en discutant puis soudain Lydie interpelle philippe :

-         ta tenue ne me plait pas philippe, déshabille toi !

Philippe se dresse d’un bond, et s’exécute. Très vite il est comme jim en string. C’est un très bel homme, bien charpenté, musclé. Sur la demande de Lydie il se tourne, ses fesses sont bien fermes, un véritable appel à la fessée auquel elle ne résiste pas. Elle se lève, va chercher les cravaches achetées l’après midi et ordonne :

-         mettez vous tous les 2 derrière le canapé !

Ils s’exécutent, philippe avec empressement, jim un peu moins, il est jaloux de devoir partager ce genre de moment.. Lydie a sorti de son sac des pinces qu’elle pose sur les tétons des 2 hommes, jim ne bronche pas, il a l’habitude. philippe lui a un petit mouvement de recul sous la morsure des pinces.

- maintenant inclinez vous sur le dossier, jambes écartées !

Elle les regarde, comparant les 2 paires de  fesses, différentes mais agréables à voir toutes 2.. un peu crispées dans l’attente de ce qu’ELLE va leur faire.. Elle savoure cet instant où tout est suspendu .. la petite pointe d’angoisse des hommes, qui augmente au fur et à mesure que les minutes passent. Elle s’approche, lentement, les muscles se serrent, la peau frissonne, elle pose ses mains dessus, en apprécie l’élasticité en les caressant doucement. Elle sent une légère chair de poule les hérisser..  Puis faisant un pas en arrière elle abat la cravache sur un fessier puis sur l’autre arrachant 2 petits cris aux soumis surpris.

-         Comptez !!

Les coups se succèdent, lentement, alternativement sur chaque fessier, qui se rayent, elle change de place, les coups changent de sens les marques croisent les précédentes. Ils ont compté tous les 2 jusqu’à 10. Elle s’arrête. Ces cravaches sont vraiment très efficaces. Elles n’ont pas fini de servir…

Elle les fait se redresser, enlève les pinces, philippe grimace sous la douleur alors qu’il attendait un soulagement, mais accepte, courageusement.

-         jim tu nous sers le reste du champagne avant qu’il ne soit chaud. Je pense que vous allez l’apprécier ?

-         Oui Madame, et merci pour ce cadeau que vous m’avez fait. Je n’imaginais guère ce matin, en décidant d’aller visiter cette fabrique, pour nourrir mon imaginaire, que cette journée serait aussi merveilleuse pour moi. Ce souvenir restera à jamais gravé en moi.

-         Cela m’a fait plaisir aussi philippe, et je te souhaite de trouver une dominatrice, je pense que tu ferais un excellent soumis. Donnes moi ton adresse Internet, Si un jour j’entends parler d’une dominatrice digne de ce nom dans ta région, je vous mettrai en contact.

-         Jim, tu t’es bien conduit aujourd’hui, pour ta récompense je vais t’enlever ta CB. Je suppose que philippe aimerait la voir de près, sait-on jamais.. peut-être un jour devra-t-il en porter une !

-         oh oui Madame, j’ai vu que jim portait cette cage et je me posais des questions, j’aimerais voir en effet.

Jim ne se le fais pas répéter 2 fois et s’offre à sa Maîtresse qui lui enlève l’engin de torture avant de le passer à philippe, qui l’examine attentivement.

-         Madame, cela m’impressionne, je ne suis pas sur que je pourrais supporter mais qui sait .. pour l’amour d’une Maîtresse, j’y arriverais peut-être. Jim le fait bien.

-         Oui philippe tu y arriverais, tu sais j’avais les mêmes doutes que toi avant que Dame Lydie ne me l’impose.

 

Philippe est parti, à regret, il a découvert un monde qu’il n’avait fait qu’imaginer jusqu’à présent. Maintenant il va chercher avec encore plus d’efforts Celle qui voudra bien l’accepter. En espérant trouver l’équivalent de Dame Lydie.

 

Jim quant à lui a passé une merveilleuse dernière soirée, à prouver à sa Maîtresse combien il l’aime.

 

Maîtresse LIA


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Merci ma Lia pour ton nouvel récit qui raviront nos lecteurs
Tu as été inspirée pour qui ont sait en je l'en remercie.
Bravo pour ton âme écrivaine

Je t'embrasse Lia 

 

 

 

Par Mylady - Publié dans : RECITS
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Samedi 10 octobre 6 10 /10 /Oct 17:33

Nous nous sommes retrouvées pour une nouvelle réunion du Cercle, samedi 19 septembre, chez notre Divine du Siècle, Maîtresse Helena. Patou ayant annoncé qu’il ne pourrait être là, il avait été décidé que la réunion se ferait sans aucun soumis, juste le Cercle comme aux premiers temps..

Nous avons toutefois eu la surprise d’un apéritif servi par un patou en tenue de soumis, hauts talons  compris ! Avant qu’il ne parte il avait pris soin de faciliter au maximum le travail qui allait incomber à notre chère amie Héléna, et il avait préparé un menu dignes des Divines : salade aux magrets et pignons de pin,  feuilleté d’escargots, fromages et  en dessert une assiette gourmande avec boule de glace, caramel, œuf en neige (pour la ligne) certaines gourmandes ont préféré la chantilly à l’œuf !!. Durant le repas les convives ont pu papoter en toute convivialité et à bâton rompu de tout et de rien, juste le plaisir d’être entre amies.  Les oreilles des minous ont du siffler parfois !

Dans l’après midi, nous avons réfléchi à la création d’une association, afin d’officialiser notre Cercle. Maîtresse Caroline et Maîtresse Héléna nous ont fait part de leur avis, nous indiquant qu’elles ne voyaient pas la finalité du projet et que cela nous demanderait énormément de travail, le Cercle ayant parfaitement fonctionné sans cela jusqu’à présent. Compte tenu de l’absence de Divina, Mylady a finalement reporté la décision à une date ultérieure.

Nous avons également évoqué l’organisation du deuxième anniversaire du Cercle, qui aura lieu en Novembre. Entre autres festivités nous voulions un thème de jeux pour le plaisir de tous ! Maîtresse Caroline a suggéré un jeu concours appelé « La Roue des Sévices » que nous décidons d’inscrire sur le forum en demandant aux minous de donner des idées de jeux et de Sévices. La meilleure idée…et donc le meilleur minou sera invité à l’anniversaire… Il va certainement y avoir des suggestions intéressantes, et sans doute pas uniquement pour la fête …Les soumis ont parfois des petites fantasmes inattendus, ce sera l’occasion pour eux de les révéler.

Il fallait également déterminer où se dérouleraient les festivités et il a été envisagé que la fête pourrait avoir lieu chez Maîtresse M si ses travaux sont terminés à cette date.. Nous nous remettrons en contact avec elle. Sinon d’autres solutions ont également été étudiées, nous avons encore tout le temps de régler ce petit problème.

Après un goûter avec le traditionnel kouglof de Mylady, nous élaborons encore certains points de cette fête ainsi que la tenue vestimentaire qui sera imposée aux minous, l’idée retenue, pour l’instant, est qu’ ils devront porter des sous-vêtements féminins à définir par leurs Maîtresses respectives.

Lia ayant du partir de bonne heure, appelée par d’autres obligations, la soirée s’est continuée tranquillement, avec le renfort du soumis de Maîtresse Caroline qui pourra ainsi faire le service pour le dîner. Seulement patou, qui ne devait rentrer que très tard, n’a pas pu se résoudre à rester absent aussi longtemps d’une réunion et a fait la surprise de revenir plus tôt pour prêter main forte à son collègue et c’est avec 2 minous que le Cercle a terminé cette agréable journée.

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Merci Etoile et Lia pour ce compte rendu et certainement que notre deuxième anniversaire de Cercle sera une réussite.

Je vous embrasse
Mylady

Par Mylady - Publié dans : CERCLE DES DOMINATRICES
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Mardi 22 septembre 2 22 /09 /Sep 16:59



Après l’avoir laissé un instant reprendre ses esprits, elles le libèrent du carcan, puis elles l’entraînent à nouveau, lui font lever les bras et l’attachent dos à un pilier, le froid de la pierre lui semble un cadeau sur ses fesses endolories. Que lui réservent-elles encore. Elles ne l’ont pas encore assez fait souffrir ?

Il sursaute lorsque des doigts viennent pincer et tordre ses tétons, longuement, il aime assez cette douleur que lui prodigue souvent sa dame, elle a pour effet de provoquer chez lui une belle érection, ce qui ne tarde pas malgré ce qu’il vient de subir auparavant. Elle lui pose ensuite des pinces qui font très mal, il n’a jamais eu aussi mal avec des pinces, mais il ne peut voir desquelles ils s’agit, il ne peut que subir. Il reste un moment ainsi, il ne sait pas ce qu’elles font, elles parlent à voix basse à l’autre bout de la pièce. La douleur finit par avoir raison de son érection, elles sont horribles ces pinces. Les voici qui reviennent et Sylvie prends la parole :

-        jim ta Maîtresse trouve que tu as du mal à maîtriser ta sexualité et que tu te masturbe un peu trop souvent à son goût. Tu devrais savoir que ton plaisir ne peut venir que d’Elle, et que tu n’as donc pas le droit de te caresser sans son autorisation.

-        Oui Maîtresse, vous avez raison, je vous promets que je ne le ferai plus sans sa permission à l’avenir.

-        Nous allons t’y aider. Madame Lydie a acheté une cage de chasteté que nous allons te poser et que tu garderas aussi longtemps qu’elle ne l’ouvriras pas.

-        Oh Mesdames ! jamais elle ne m’a parlé de cela.

-        C’est une petite surprise que je te fais mon cher jimmy, tu devrais m’en remercier.

-        Merci Madame, c’est un cadeau dont je me serais volontiers passé, mais que j’accepte puisque c’est Votre volonté

-        .

Les deux femmes s’emploient à lui fixer la CB, il voudrait pouvoir les regarder faire et regrette d’avoir les yeux bandés, il est tellement concentré sur ces mains qui s’agitent autour de son sexe, qu’il ressent moins ses douleurs. Enfin elles ont terminé et se réjouissent de l’avoir ainsi condamné à l’impuissance. Lydie se décide enfin à lui enlever son bandeau et il peut voir l’engin en plastique qui moule désormais son pénis. Des tas de questions se posent à lui, mais il se dit que sa Dame saura probablement lui apporter les réponses. Soudain il lui revient qu’il va passer la semaine dans cette maison, qu’il va retrouver sa cage et la détresse l’envahit à nouveau. Il voudrait tant pouvoir se blottir contre sa Maîtresse, qu’elle lui explique ce qu’il doit faire, comment vivre avec cette chose.

Au lieu de cela, elle lui enlève les pinces sans aucune précaution, lui tirant des cris, le détache, et toutes deux le ramènent dans la cage, en l’informant qu’elles vont aller déjeuner, que pierre lui amènera sa pitance. Il s’étends à plat ventre sur le matelas pour éviter d’appuyer sur ses fesses. Mais ce n’est pas possible non plus, ses tétons sont trop sensibles et la cage le gène. Il ne lui reste que la position sur le côté, il est si fatigué…  il somnole un peu, et sursaute quand pierre lui apporte une gamelle de soupe de légumes, et du pain. Il a un petit regard amusé en voyant la cage.

-        Toi aussi tu y as eu droit. J’en ai une aussi ! bon appétit.

-         

Jim se sent un peu moins seul de savoir que pierre porte également une telle chose. Il mange avec appétit son frugal repas, puis refait un petit somme qui lui redonne quelques forces. Il s’interroge sur ce qui l’attends encore. En milieu d’après midi pierre revient, ouvre la cage, le détache et le prie de l’accompagner. Ils remontent, pierre le conduit dans une salle de bain, lui conseille de prendre une douche et lui remet un tube de crème à passer sur ses fesses. Jim, un peu surpris, s’exécute avec plaisir, ça fait du bien l’eau chaude sur son corps meurtri, après s’être séché la pommade le soulage encore un peu plus. Il remet son uniforme : string et collier, et attends. Pierre vient très vite le rechercher et le conduit dans le salon où l’attendent Sylvie et Lydie, elles le prient de venir devant elles, le font tourner pour regarder ses fesses bien quadrillées et se moquent de lui : encagé par devant et grillagé par derrière. Il s’agenouille devant elles et les remercient de cette punition qu’il reconnaît avoir méritée. Lydie le regarde avec un mélange de tendresse et d’ironie.

-        Jim, tu as raison de nous remercier de t’avoir puni. Les punitions forment les soumis, et je suis fière de toi, tu as vaillamment supporté les épreuves de ces 2 journées.

-        Merci Madame, je suis si heureux de vous avoir ainsi fait plaisir, c’est une récompense qui me fait oublier tous les mauvais moments.

-        Alors tu vas avoir une plus belle récompense encore, car nous allons repartir ensemble. Je t’ai imposé cette épreuve pour voir si tu étais capable d’accepter et de subir. Tu as passé le test honorablement.

-        Nous nous arrêterons dans un petit hôtel où j’ai réservé, et nous y passerons quelques jours de vraies vacances, où tu seras tout à mon service et à ma disposition, sans beaucoup de punitions, mais avec ta CB, seul mon plaisir sera important pour toi.

-        Sylvie est propriétaire de cette demeure, où elle reçoit, avec l’aide de pierre son soumis, ses amies qui souhaitent donner un petite leçon à des soumis qui en ont besoin. Cette fois c’est toi qui en a profité. Tu as pu voir qu’il est possible tout de même de faire un séjour de longue durée et si un jour je pense que c’est nécessaire, je n’hésiterai pas à t’y laisser, seul cette fois, pour un temps un peu plus long. Pierre est capable de se transformer, sur l’ordre de sa Maîtresse, en véritable dominateur. A toi d’éviter de me donner l’envie d’en venir là.

-        Ma Dame, Vous savez que je n’ai pas besoin de cela pour souhaiter Vous plaire et Vous satisfaire, mais cette expérience m’a prouvé Votre détermination, et je ferai tout pour éviter de Vous inciter à me ramener ici, malgré tout le respect et l’admiration que j’éprouve pour Maîtresse Sylvie.

 

C’est avec un bonheur sans mélange que jim alla préparer les affaires de sa Dame, elle n’avait pour ainsi dire rien sorti de son grand sac, et en y rangeant les quelques vêtements posés sur une chaise, il se rendit compte qu’elle avait réussi à prendre, sans qu’il le voie, une partie de ce qu’il avait amené chez elle. Il aurait donc de quoi se changer pendant ces vacances inespérées. Une bouffée d’Amour pour Elle le submergeât.

 

Les vacances commençaient ! il était heureux !


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Quel beau récit et surtout venant d'une Dominatrice prévoyante qui pense au bien-être de son soumis.
Nous sommes dignes et justes voici les qualificatifs qui nous diffèrent, même si ce n'est qu'un récit, cela réflète notre manière d'être.

Félicitations ma Lia, je suis fière d'être ton amie.

Mylady

Par Mylady - Publié dans : RECITS
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Dimanche 20 septembre 7 20 /09 /Sep 20:29



Pierre et jim disparaissent pendant que Sylvie et Lydie discutent tranquillement en mettant au point ce qu’elles ont déjà prévu dans les grandes lignes. Lorsque jim revient, il se jette aux pieds de sa Maîtresse en lui lançant un regard suppliant.

-        Sylvie, figure toi que jim est mort de peur 

-        Je m’en étais rendue compte, c’est généralement le cas de tous ceux qui arrivent ici. Et ils ont raison d’avoir peur, il faut le reconnaître.

-        Je te propose Lydie que nous allions installer jim et lui faire découvrir l’endroit où il va passer ces quelques jours.

-        Avec joie chère amie.

Elles se lèvent, Sylvie saisit la laisse de jim, et les entraîne dans le couloir, puis dans un escalier qui descend probablement dans les caves du château. Jim tremble de tous ses membres, la panique l’envahit, il sent la fraîcheur du sous sol qui lui donne la chair de poule. Ils arrivent enfin dans une grande salle pavée de dalles anciennes, de beaux piliers en  pierres de taille soutiennent le plafond, des anneaux y sont fixés d’où partent des chaînes qui ne demandent qu’à s’accrocher aux colliers de soumis rétifs. Plusieurs cages de métal sont alignées contre le mur du fond.

Sylvie ouvre l’une des cages et y pousse jim, elle fixe la laisse à une lourde chaîne, et lui désigne un matelas dans le coin, avec une simple couverture.

-        voilà où tu vas passer tes nuits. Tu auras probablement des compagnons dans les jours qui viennent mais pour cette nuit tu seras seul. Pierre va t’amener du pain et de l’eau, ce sera ton souper, et ton petit déjeuner. Tu vas avoir tout loisir de réfléchir à tes fautes et manquements et à ce que tu peux faire pour t’améliorer.

-        Nous te souhaitons une bonne nuit. A demain.

Lydie s’approche du jim, totalement désemparé. Elle lui fait une rapide caresse sur la jour, en lui recommandant d’être bien sage. Sylvie ferme à clé la porte de la cage, puis elles le quittent. Le claquement de leurs talons sur les dalles résonnent dans sa tête, il ouvre la bouche pour appeler sa Maîtresse, mais réalise que ce serait probablement totalement inutile, il vaut mieux ne pas se ridiculiser. Le silence s’installe, oppressant, un reste de jour s’insinue par les soupiraux, une petite lampe, à l’autre bout de la pièce dispense une faible lueur. Jim se laisse tomber sur le matelas et s’enroule dans la couverture, il a froid, plus encore au cœur qu’au corps. Il se sent abandonné, que va-t-il lui arriver ? Lorsque pierre lui apporte sa pitance, il murmure un faible merci, sans même oser l’interroger, et pourtant ce ne sont pas les questions qui manquent. Il grignote un morceau de pain et boit quelques gorgées d’eau, puis décide que le mieux est encore d’essayer de dormir, la nuit passera plus vite ainsi. Mais le sommeil est long à venir, il y a longtemps que la nuit a obscurcit le cachot quand il finit par sombrer dans une torpeur peuplée de cauchemars. Il se réveille plusieurs fois, avant de voir le jour et un vague rayon de soleil glisser sur les vieilles pierres.

 

Des heures passent encore avant que ses tourmenteuses ne refassent leur apparition, fraîches, souriantes, leurs parfums chassent l’odeur d’humidité. Jim s’était relevé d’un bond en entendant leurs pas dans l’escalier. Il a si froid que leur arrivée lui donne une impression de chaleur.

-        Comment va ce petit jim ?

-        Mal Madame, j’ai si froid quand Vous n’êtes pas là ..

Sylvie le regarde avec un petit sourire sadique

-        Rassures toi jim, nous allons te réchauffer, il est temps pour toi de payer toutes tes fautes.

Elle ouvre la cage,  détache la laisse, puis la confiant à Lydie, elle les précède et ouvre une lourde porte de bois donnant sur une autre pièce. Il s’agit d’un véritable donjon, rien n’y manque, jim se recroqueville en découvrant tout ces instruments, la semaine s’annonce pénible !!

Après un coup d’œil à Sylvie, Lydie attache jim de face sur la croix de St André, après lui avoir fait enlever son string, elle lui mets un bandeau sur les yeux, et lui dit d’une voix tranquille :

-        jim j’ai fait à Sylvie l’historique de tes fautes de ces derniers temps, et elle estime qu’avant d’aller plus loin dans ton éducation, il faut déjà solder l’arriéré. Nous allons te donner 50 coups de cravache, à tour de rôle, tu devras soigneusement les compter, il y aura une pause tous les 10 coups et du devras remercier à ce moment là celle qui te les auras appliqués.

-        Alors réponds, tu as compris ?

-        Oui Madame, j’ai compris, je devrais remercier tous les 10 coups la Dame qui me les auras donné.

Elles le laissent un moment sans le toucher, elles se sont un peu éloignées et parlent tranquillement. Quand vont-elles se décider à appliquer cette terrible punition ? Qu’on en finisse, il n’a jamais reçu autant de coups en une seule fois et il suppose que Maîtresse Sylvie ne doit pas être douce quand elle frappe. Enfin elles se rapprochent, tout son corps se tend dans l’attente de la douleur, mais c’est une douce caresse qui se promène sur tout son corps crispé, il se détends en reconnaissant la main de sa Dame. Il regrette d’avoir les yeux bandés, de ne pas pouvoir croiser son regard, y lire ce qu’elle pense. La caresse s’arrête soudain et la cravache s’abat avec force en travers de ses fesses. UN crie-t-il, alors que le 2ème arrive déjà, les 10 premiers coups se succèdent à une cadence rapide, et c’est avec un véritable soulagement qu’il prononce le 10 qui va lui donner un peu de répit.

-        Je pense que je dois remercier Maîtresse Sylvie de me faire expier mes fautes vis-à-vis de ma Maîtresse.

-        En effet, tu as trouvé, nous t’accordons 5 minutes de repos.

Bien trop vite à son gré, la cravache reprend sa danse de feu, bien que les coups soient plus lents, il n’a pas la sensation que ce soit sa Maîtresse qui les lui donne, elle a une façon de frapper qu’il ne reconnaît pas ici. Il remercie donc à nouveau Maîtresse Sylvie, qui lui confirme que c’est bien elle en effet. La satisfaction de ne pas s’être trompé atténue un peu la brûlure de ses fesses.

La 3ème série est indéniablement de la main de Madame Lydie, même s’il trouve qu’elle frappe plus sèchement qu’habituellement, sans doute l’effet d’avoir une amie spectatrice.  Il est déjà à bout de force, il ne tiendra jamais encore 20 coups, ses gémissements se sont fait de plus en plus forts, tout juste s’il arrive à prononcer les chiffres. Elles l’ont compris et lui annoncent un quart d’heure de pose cette fois, puis le détachent, sans lui enlever son bandeau. Il sent sa laisse se tendre, il suit sans savoir où il va. Une main ferme le fait s’incliner, son cou se pose sur quelque chose de dur, puis il le sent enserré, il comprend enfin, elles l’installent dans le carcan, ses poignets sont à leur tour enfermés, ses chevilles écartées et liées.  Le silence est ensuite retombé autour de lui, elles l’ont laissé seul. La position est incommode, mais il apprécie au moins ce moment de calme.

Hélas les minutes passent vite, et il entends les voix de ses tortionnaires, leurs pas qui approchent. Sa peau se hérisse en sentant leurs mouvements autour de lui, puis la main de sa Maîtresse qui le palpe, semblant évaluer l’épaisseur des boursouflures des marques.

-        Je crois mon petit Jimmy que tu vas conserver des marques quelques jours !

-        Madame, si cela vous fait plaisir, je serai fier de les garder pour vous.

-        Alors nous allons en ajouter quelques unes encore, pour parachever le chef d’œuvre.

La cravache s’abat à nouveau, cette fois Maîtresse Sylvie croise les marques avec les précédentes, il a l’impression que le sang jaillit aux points de croisement. C’est une vraie sadique cette femme se dit-il lorsqu’elle s’arrête après qu’il ait prononcé le 40 d’un ton plaintif. Après 5 minutes de relâche, c’est sa Maîtresse qui termine la dernière série, en suivant l’exemple de son amie. Il a cru s’évanouir avant de pouvoir atteindre l’ultime cinglée.

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A SUIVRE  !!!!!!!!

Par Mylady - Publié dans : RECITS
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Vendredi 18 septembre 5 18 /09 /Sep 19:50



LE SEJOUR

 

 

Jim arrive devant la maison de sa Maîtresse, pile à l’heure, il est inquiet, elle lui a demandé de lui réserver une semaine de ses vacances, et ce n’est pas l’idée de passer 10 jours avec Elle qui lui pose question, mais ce qu’Elle lui réserve. Il sait que des surprises sont toujours au rendez-vous, et comme Elle a refusé de lui dire ce qui était prévu, il se méfie. Il prends son sac de sport, bien rempli pour cette longue semaine, le bouquet de roses blanches pour sa Maîtresse, et sonne à la porte. L’aventure commence.

 

Madame Lydie lui ouvre, visiblement agacée :

-        tu es en retard, de 5 bonnes minutes.

-        Pardon Madame, j’étais à l’heure, mais le temps de me garer et de sortir mon sac, il est vrai que j’ai pris quelques minutes de retard. Il y avait pas mal de travaux sur la route.

-        Bon, n’en parlons plus, je vois que tu as un véritablement déménagement, qu’es-ce que tu as donc emmené ?

-        Eh bien Madame, des vêtements pour la semaine, je tiens à vous faire honneur si nous avons à sortir, vous n’avez rien voulu me dire, j’ai donc prévu un peu tous les cas de figure.

-        Tu n’auras pas besoin de tout cela ! tu sors ta trousse de toilette, des slips et strings, un maillot de bain et  un jogging, je t’ai préparé quelques serviettes de toilette. Cela suffira !

-        Vas mettre tes fleurs dans un vase, elles sont très belles et je t’en remercie. Tu sais que cela me fait toujours plaisir..

-         Et dépêche toi, nous avons de la route à faire.

-         

Le pauvre jim s’exécute, de plus en plus inquiet, qu’es-ce qu’elle a encore inventé ? En quelques instants les fleurs s’épanouissent dans le vase en cristal sur la table du salon, son sac a été délesté de tout ce que Madame jugeait superflu, et il est prêt à la suivre. Elle lui donne son propre sac de voyage et son vanity, et  ils descendent au sous-sol,  il range les bagages dans le coffre et s’apprête à prendre le volant.

-        non c’est moi qui conduit, toi tu restes à côté de moi, je ne t’attache pas car la route est longue et j’espère que je peux te faire confiance pour te tenir tranquille ?

-        Bien sur Madame ! vous ne voulez toujours pas me dire où nous allons ? je me pose beaucoup de questions.

-        Je te le dirai en route. Pour l’instant je dois essayer de rattraper le retard que nous avons pris par ta faute. 

-         

Ils quittent la maison, traversent la ville et s’engagent sur l’autoroute, elle roule au maximum autorisé. Mais il se sent en confiance avec Elle, il connaît sa prudence au volant. Il essaie de se détendre, et de profiter du paysage sans trop penser à ce qui l’attends. A  quoi bon ? puisque rien ne peux lui en donner la moindre idée. En tout cas un endroit où il n’aura pas besoin de vêtements ce qui est déjà en soi très stressant, avec de l’eau compte tenu du maillot de bain, une plage ? cela semble bizarre, même là on s’habille au moins le soir. Il renonce, et se résigne à attendre qu’elle lui explique. Il la regarde, elle a son air sévère, fermé, concentrée sur sa conduite. Sentant son regard elle lui jette un coup d’œil, glacial, il pense à la chanson : « Elle a le regard qui tue ». Il en frissonne, il n’a pourtant pas le sentiment d’avoir particulièrement fauté ces derniers temps. Il fait le maximum pour la satisfaire, mais il est vrai qu’Elle est souvent imprévisible et qu’il n’arrive pas toujours à savoir ce qu’il faut faire pour lui plaire. Enfin Elle se décide a parler.

-        Tu te souviens de la conversation que nous avons eu il y a quelques temps, au sujet de tes lacunes ?

-        Nous en avons parlé plusieurs fois Madame, je sais que je ne suis pas toujours à la hauteur malgré mes efforts et surtout les vôtres pour m’éduquer.

-        Justement à propos d’éducation, ça ne te rappelle rien ?

-        Vous voulez parler du Centre d’Education dans lequel vous aviez envisagé de me placer ?

-        Oui, c’est exactement cela !

-        Oh Madame, je croyais que c’était une plaisanterie, une menace de Votre part. Je n’imaginais même pas que cela existe vraiment.

-        Mais si ! ça existe et tu va tester dès ce soir.

-        Madame, je vous en supplie, pas de Centre, je ferai tout ce que vous voudrez, je suis prêt à Vous obéir Vous le savez, et je progresse sous Vos ordres c’est certain, je ferai encore des efforts pour avancer plus vite. Mais je ne supporterai pas d’être dressé par quelqu’un d’autre que Vous.

-        Trop tard, j’ai réservé pour la semaine, je serai au Centre aussi, je pourrai ainsi suivre tes progrès au jour le jour. Quand tu en sortiras tu seras un vrai soumis, du moins je veux le croire.

-        Madame, j’ai peur, je n’ai aucune idée de ce que peux être un tel endroit, pouvez Vous au moins m’en parler, me dire ce qui m’attends ?

-        Tu auras tout le temps de découvrir par toi-même. Tout ce que je peux te dire c’est que c’est un château, aménagé pour recevoir Dominatrices et soumis, qui donne des cours de soumission en accéléré. Cela va te faire le plus grand bien.

-         

Jim s’enfonce dans son fauteuil, tremblant à l’idée de cette semaine, que va-t-on lui faire et lui faire faire.. ? Son cœur se serre, sa Maîtresse le trouve donc un si mauvais soumis, malgré ses efforts, il se sent découragé, il a presque envie de pleurer, lui qui était si heureux à l’idée de ces quelques jours de vacances avec sa Dame, tout à son service, à sa disposition. Et voilà qu’elle le livre à des étrangères, il ne saura pas ce qu’il faut faire, il va être puni, très souvent probablement, il aime les punitions quand c’est ELLE qui les lui applique, mais par d’autres ce va être un enfer. Cette fois, les larmes coulent vraiment sur ses joues, il n’arrive pas à se retenir. Il voudrait la supplier, encore et encore, mais il sent que cela ne servirait à rien, elle a son regard décidé, rien ne la fera changer d’avis.

Le paysage n’a plus aucun attrait pour lui, il a fermé les yeux et essaye de s’apaiser, mais rien n’y fait, il se sent mal, malade. Il le lui dit, Elle s’arrête dans une station service pour lui permettre d’aller se rafraîchir un peu. Ils font ensuite quelques pas dans les allées de l’aire de repos. Elle le regarde avec un petit sourire ironique.

-        Tu n’as vraiment pas l’air en forme, mon pauvre petit jim !

-        Non Madame, en effet, je suis vraiment désolé de Vous avoir déçue à ce point, pour que Vous ayiez ressenti l’obligation de me confier à d’autres pour faire mon éducation. J’ai honte de moi.

-        J’espère que tu vas me faire honneur, et que tu t’efforceras de profiter au mieux de cette éducation.

-        Je vous promets de faire le maximum Madame, même si je ne me sens absolument pas sur de moi, je me sens tout petit, nul, minable à cette heure.

-        On repart, nous ne sommes pas en avance.

 

Jim remonte dans la voiture, comme un condamné dans la charrette qui le mène à la guillotine. La route se poursuit dans un silence lourd de son chagrin.

Lydie quitte l’autoroute, et emprunte une petite route sinueuse, il ne sait même pas où ils sont, il n’a plus fait attention depuis des heures. Elle s’engage dans un chemin, au bout duquel apparaît une belle demeure, le mot château est un peu exagéré, mais le bâtiment est néanmoins imposant. Une allée bordée de châtaigniers aboutit devant le perron. Après que sa Maîtresse se soit garée sur le parking, jim se précipite pour lui ouvrir la portière, il sort les bagages du coffre, et la suit. Lorsque elle sonne, la porte s’ouvre très vite sur un majordome en livrée, qui les invite à le suivre. Il les conduit dans un vaste salon confortable. A leur entrée, une femme se lève du canapé où elle était installée avec un livre ; elle est grande, imposante, vêtue d’une longue jupe droite de cuir, et d’un chemisier de soie blanc. Ses cheveux très noirs sont noués en un chignon qui accentue son air sévère.

-        Bonjour Lydie, comment vas-tu ? la route n’a pas été trop longue ? Tu dois être fatiguée, assieds toi, pierre va t’apporter des rafraîchissements.

-        Bonjour Sylvie, je vais bien, j’aime bien conduire, je ne fatigue donc pas particulièrement, mais je ne refuserai pas un verre de quelque chose de frais.

-        Voici jim, mon soumis dont je t’ai parlé.

-        Jim ! tu me fais honte, tu devrais déjà être aux pieds de Maîtresse Sylvie qui te fait la grâce de te recevoir.

Jim se précipite et s’agenouille :

-        Maîtresse Sylvie, je vous prie de bien vouloir me pardonner ma conduite inqualifiable !

Sylvie lui tends son poignet, il lui fait un baise-main comme sa Maîtresse le lui a appris. Elle le toise sévèrement.

-        en effet Lydie, il semble que cet esclave ait encore bien des progrès à faire. Mais nous allons nous en occuper.

-        Pierre, tu amènes le plateau, et ensuite tu emmènes jim déposer les bagages de sa Maîtresse dans la chambre qui lui est réservée.

-        Jim, tu reviendras ensuite ici, juste vêtu d’un string et de ton collier avec la laisse, c’est tout ce que tu porteras durant ton séjour ici.

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Merci pour ce beau récit suite à un mot d'un de tes correspondants qui a fait sortir de ton imagination cette belle histoire magnifiquement contée.

A quand la suite ????? Mais je la publierai pour le plus grand plaisir de nos lecteurs.

Mylady

Par Mylady - Publié dans : RECITS
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Jeudi 10 septembre 4 10 /09 /Sep 17:31

Je décide de jouer le jeu, en faisant mine de prendre cela pour une plaisanterie, c’en est sans doute une d’ailleurs.

-        oui pourquoi pas, ce serait marrant, vas-y ..

-        alors tu te déshabilles, allez ! plus vite que ça !

Me voici pris au mot. J’hésite un instant, et puis je me déshabille, et me retrouve devant elle, en slip, bien embarrassé. Elle sort de la pièce et revient au bout de quelques secondes, un collier de cuir et une corde à la main, elle me passe le collier au cou, fixe une extrémité de la corde au collier et l’autre au radiateur.

-        Maintenant au boulot. Quand tu auras fini, et bien réfléchi en travaillant, nous aurons une petite explication.

Elle sort de la pièce, je n’ai pas eu le temps de comprendre ce qui m’arrivait, je pourrais me détacher bien sur, mais je n’en ai même pas envie. Je suis là comme un idiot, à me demander ce que je dois faire, et je décide que le plus simple est de faire ce pour quoi j’étais venu : installer le meuble. Elle m’a dit qu’elle m’expliquerait, donc attendons.. je démonte, puis je sors le nouveau meuble de l’emballage et jette un coup d’œil sur la notice, mais les mots dansent devant mes yeux, je n’arrive pas à me concentrer, ma situation me semble tellement ahurissante, je viens tranquillement donner un coup de main à une amie et je me retrouve dans la situation d’un soumis. Et le pire, c’est que ça ne me déplait pas du tout finalement. Enfin j’arrive à la fin du montage, tout à l’air correct, je prends soin de ranger dedans tout ce que j’avais enlevé de l’ancien, y compris la fameuse corde. Tous les dessous ont rejoint leur panier. Je n’ai pas revu Lydie, et je ne sais plus quoi faire ? attendre ? l’appeler ? Je fais un peu de toilette et je pense que le bruit de l’eau lui indique que j’ai terminé.

 

Elle arrive, j’ai la surprise de la découvrir habillée d’une mini jupe en cuir, d’un tee-shirt très moulant avec un décolleté maximum, et de bottes de cuir à très hauts talons. Elle s’est soigneusement maquillée, et je reste bouche bée devant la transformation. La jeune femme plutôt banale est devenue une véritable Dominatrice, même son maintien s’est modifié, dressée, hautaine, elle me toise avec un regard sévère qui me fait ressentir encore plus ma nudité. J’aurais presque envie de me mettre à genoux devant elle. Elle détache la corde du radiateur et me fait signe de la suivre, je suis bien obligé puisque le collier est resté fixé à la corde.

 

               Elle me conduit au salon, s’installe sur un fauteuil, et me montre le tapis à ses pieds. Je ne sais trop que faire, comment me comporter. Elle vient à mon aide.

-        si tu as fait le travail en restant en laisse, alors que tu aurais eu toute latitude de te détacher si tu avais vraiment pris les choses à la plaisanterie, c’est que tu as accepté d’être mon soumis, au moins pour un petit moment. Maintenant je vais tout t’expliquer, mais, si tu souhaites continuer dans le même sens, tu te mets à genoux à mes pieds.

Je m’exécute, après tout il me sera toujours possible de partir après l’explication, de la plaquer là avec ses jouets, et de ne plus répondre à ses convocations.

 

-        tu te souviens des raisons pour lesquelles ton frère et moi nous nous sommes séparés ?

-        Non, je ne l’ai jamais su en fait. Il n’a pas répondu à mes questions et je n’ai pas insisté.

-        J’avais découvert qu’il passait une partie de ses soirées sur Internet, à regarder des sites SM. Quand je lui en ai fait la remarque, il s’est fâché, m’a dit qu’il faisait ce qu’il voulait, et que j’avais intérêt à filer droit parce que c’était lui le Maître et qu’il avait bien l’intention de me dresser.

-        Je suis entrée dans une colère folle, lui  rappelant qu’il était chez moi, dans mon appartement, et que celui qui me dresserait n’était pas encore né. Je suis allée chercher toutes ses affaires et les ai balancées sur le palier.

-        D’accord, je comprends qu’il n’ait pas voulu s’en vanter. Comment a-t-il pu penser faire de toi une soumise ? C’était idiot.

-        Tout à fait, et le soir même c’est moi qui visitais les sites Internet, mais pas tout à fait les mêmes que lui. J’ai découvert mon besoin profond, je me suis jointe à un groupe de dominatrices, qui m’ont aidée à comprendre, assumer et vivre ma vie de domina.

-        J’ai eu plusieurs soumis depuis ce temps, mais aucun ne m’a pleinement satisfaite. La plupart ne sont que des fantasmeurs, qui ne pensent qu’à leurs petits envies. Résumé je n’ai plus personne actuellement.

-        Tu sembles avoir des dispositions, même si tu ne le ressens pas encore vraiment. La preuve : tu viens chaque fois que je t’appelle, sans discuter, sans chercher des excuses pour ne pas venir, même les soirs de match.. !! Et là tu t’es laissé mettre un collier et attacher sans me traiter de folle et fuir en me laissant me débrouiller avec mon meuble.

-        Je t’offre la chance de découvrir ce monde à mes côtés, tu obéiras à tout ce que j’ordonnerai, mais avec moi tu trouveras une Maîtresse qui te respectera, tu ne seras pas un chien qui rampe, mais un partenaire dans un binôme Dominatrice/soumis. Tu me devras obéissance, respect, vénération. Tu seras puni pour chaque faute, chaque manquement mais toujours avec justice. A moins que tu ne prennes goût aux châtiments corporels et que tu te mettes à fauter exprès, ça arrive. Dans ce cas, je m’en donnerai à cœur joie, car j’adore utiliser la cravache que tu as découverte l’autre fois. Bien entendu tu devras me vouvoyer. Je te donne un délai de réflexion si tu en as besoin.

 

Mon cerveau tourne à plein régime, des images folles l’envahissent, un bonheur aussi, je me vois aux pieds de Lydie, je comprends maintenant ce qui me poussait à toujours répondre présent quand elle m’appelait. Je réalise ce qui m’attirait dans ce que je voyais sur Internet. Bien sur que je suis soumis, c’est certain. Il n’y a donc pas a réfléchir. Une envie nouvelle me vient également qui me surprends mais qu’il me semble absolument indispensable de satisfaire.

 

-        Lydie, ou plutôt non Madame ou Maîtresse, comme il vous plaira que je vous nomme. Je crois que je n’ai pas besoin d’un délai, je suis à vos pieds et prêt à y rester.

-        Je voudrais vous supplier de me faire une démonstration de ce que seraient vos punitions. J’en ai mérité une tantôt en fouillant dans vos sous vêtements, en prenant du plaisir à les caresser, les respirer. Lorsque vous penserez que je mérite une récompense, m’autoriser à les laver après en avoir apprécié les senteurs en serait une très belle.

-        Je constate que tu apprends vite.. Mais je n’apprécie guère que l’on me dicte quand je dois donner une punition, où les récompenses que je peux accorder.

-        Je veux bien considérer cette fois comme une erreur de jeunesse, et tu vas faire connaissance avec ma cravache comme tu le souhaites. Tu pourras m’appeler Madame.

-        Va dans ma chambre, tu trouveras la cravache sur la commode, ainsi qu’un martinet, tu me les amènes.

Je me précipite dans sa chambre, je prends religieusement les instruments de ma punition. Je réalise soudain ce à quoi je me suis engagé, j’ai peur soudain, es-ce que je serai capable de supporter les coups ? je n’ai aucune idée de ce que cela fait de recevoir le martinet ou la cravache.. Je reviens dans le salon, beaucoup moins vite que je n’en suis parti. Lydie me lance un regard interrogateur :

-        Alors ? que t’arrive-t-il ? tu sembles beaucoup moins enthousiaste d’un seul coup.

-        Madame, je n’ai pas changé d’avis, simplement j’ai peur, terriblement peur, de ne pas être à la hauteur, peur des instruments que je tiens, peur de ne pas les supporter.

-        C’est bien d’avoir peur, la peur fait avancer les soumis. Je sais que c’est une première pour toi, mais il faut bien commencer. Laisses ça sur la table, poses tes mains sur l’accoudoir du canapé, jambes bien écartées, fesses tendues.

Elle vient à côté de moi, me guide pour me positionner, puis prends un foulard et m’en bande les yeux. Maintenant que je ne vois plus ma peur augmente encore, j’ai la sensation que tous mes nerfs sont tendus comme des cordes de violon. Elle me frôle, et un grand frisson me parcourt. Je tremble de tous mes membres. Je sens comme une caresse sur mon dos, mes reins, mes fesses, ce sont les lanières du martinet me semble-t-il, ma tension s’apaise un peu sous la douceur de ce contact, sa main vient à son tour effleurer ma peau, tout le long de la colonne vertébrale, puis elle me pince les tétons, doucement d’abord, de plus en plus durement ensuite, un petit gémissement m’échappe. Quelque chose de plus dur remplace ses doigts, des pinces.. ce doit être des pinces, la douleur est vive tout d’abord puis se calme un peu.. J’essaie de respirer plus calmement, de me détendre. Une certitude m’envahit, elle saura m’apprendre à subir sans brutalité excessive. Elle sent que mes muscles tendus se relâchent. Soudain mes fesses se contractent au contact des lanières, le premier coup de martinet ! cela chauffe mais c’est supportable, les cinglées s’enchaînent, augmentant d’intensité mais il me semble que plus elles sont fortes et mieux je supporte. J’accepte ! Au bout d’une dizaine elle arrête, caresse doucement mes fesses qui doivent avoir pris de belles couleurs.

-        Alors ? comment te sens tu mon petit Denis.

-        Bien Madame, mes fesses brûlent pour Vous !

-        Jolie réponse… voyons si la cravache te plaira autant.

Elle a à peine achevée ces mots qu’une violente brûlure me déchire les fesses, je pousse un AÏE, qui la fait rire gentiment.. Les coups se succèdent, je me tortille, piétine, gémis, mais je supporte aussi vaillamment que je peux. Enfin elle arrête, me prodigue à nouveau quelques caresses avec ses doigts si frais sur ma peau si chaude.

-        Merci Madame, ça fait du bien.

-        La cravache fait du bien ??

-        Non, vos mains Madame, après.

-        Dommage, j’ai cru que tu aimais déjà la cravache. Mais ne désespérons pas ça viendra sans doute.

Elle m’enlève les pinces, d’un coup,  je crie sous la douleur surprise,  je m’attendais à un soulagement, et en fait c’est plus douloureux après que pendant. Elle masse mes tétons douloureux, afin de rétablir la circulation dit-elle, d’un petit ton ironique. Ca fait mal ! puis je sens un contact d’une infinie douceur, ce sont ses lèvres qu’elle utilise pour titiller mes tétons douloureux, j’apprécie.. Enfin, elle me débarrasse de mon bandeau. Après l’éblouissement du retour à la lumière, je rencontre ses yeux qui me scrutent.

-        Tu as bien supporté cette première punition. Pour mon propre plaisir, j’espère qu’il y en aura beaucoup d’autres.

-        Mais tu peux encore changer d’avis. Tu vas avoir de quoi réfléchir ce w.end, si ce que tu viens de vivre aujourd’hui te semble correspondre à ton « moi profond » tu me téléphones lundi, et nous parlerons d’avenir. Si tu ne m’appelles pas, je comprendrai, et ne te contacterai jamais plus. Ce qui m’ennuierait prodigieusement car il me faudrait trouver un autre bricoleur et des comme toi.. ça ne court pas les rues.

 

Je me suis rhabillé, encore tout étourdi, quand j’ai été prêt à partir, elle m’a posé un baiser sur la joue, et une grande claque sur les fesses, qui a réveillé la douleur qui commençait à s’apaiser. Je lui ai dit « Merci pour tout Madame ».

En m’installant dans ma voiture je pousse un gémissement, aïe mes fesses, quand j’attache ma ceinture, c’est aïe mes tétons. Je vais réfléchir  comme elle me l’a dit, mais je crois bien que finalement …

 

Je vais lui téléphoner demain pour l’inviter au restaurant !!

 

Maîtresse LIA


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Le contraire m'aurait étonné et d'ailleurs fort décue........sourire
Félicitations Lia
Je t'embrasse très fort
Mylady

Par Mylady - Publié dans : RECITS
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Mercredi 9 septembre 3 09 /09 /Sep 16:59

DEPANNAGE

 

-        Allo Denis, j’ai une petite fuite dans la salle de bain, tu pourrais me dépanner ?

-        D’accord Lydie, c’est urgent ? ou ça peut attendre demain ?

-        Demain ça ira, il est déjà 21 h je ne vais pas te faire travailler toute la nuit quand même.

-        Je viens en sortant du travail à 17h

-        Merci, je savais que je pouvais compter sur toi. A demain.

 

Et me voici encore coincé pour toute une soirée. Lydie a été la petite amie de mon frère, il y a déjà plusieurs années, ils faisaient appel à mes talents de bricoleur à cette époque. Maintenant mon frère n’a plus aucun contact avec elle, mais elle continue à m’appeler au moindre problème.  Je ne sais pas trop  pourquoi j’accoure à chaque fois, je n’ai pas d’attirance particulière pour elle, d’abord elle est plus âgée que moi, et un peu trop autoritaire. Enfin bon, ça ne me déplait quand même pas puisque j’obéis..  J’ai toujours eu des amies plutôt du style « douce et fragile, que j’ai envie de protéger » mais je n’ai jamais pu les garder plus de quelques mois. Alors pourquoi Lydie me mène t-elle par le bout du nez comme cela ? mystère. Demain soir je pensais regarder tranquillement le match à la télé, il faut que je pense à emmener ma radio je vais en être réduit à l’écouter en travaillant.

 

A 17h15 je sonne à la porte de Lydie qui m’accueille avec joie.

-        il était temps que tu arrives, ça coule de plus en plus, j’ai du mettre une casserole sous la fuite. Heureusement que tu es là mon petit Denis, toujours prêt à donner un coup de main..

-        Je te laisse travailler tranquille, la salle de bain est trop petite pour que je t’encombre, je vais en profiter pour aller à l’épicerie, tu dîneras avec moi ce soir.

J’aime autant être seul, les femmes qui me tournent autour quand je travaille et m’expliquent ce que je dois faire m’énervent. Je commence à faire un peu de place car la pièce est effectivement exiguë, je sors séchoir et panier à linge, et je tire le petit meuble qui me gène pour accéder à la tuyauterie défectueuse. Un bruit de chute de quelque chose me donne une petite peur, j’espère que ce n’est pas un flacon de parfum qui vient de tomber derrière le meuble. C’est cher ces trucs là ! je tire doucement et découvre stupéfait .. une paire de menottes, des vraies, en métal, bien lourdes. Qu’es-ce que ce genre de chose fait chez Lydie ?? je reste un moment pensif, tournant et retournant l’objet …

 

Et comme un flash me revient une autre découverte que j’avais faite quelques mois plus tôt.. J’était venu dépanner son électricité cette fois, et, le boulot terminé, nous prenions l’apéritif dans le salon, je prenais un peu mes aises sur le canapé, car j’avais eu une dure journée au boulot et 2 h passées à me battre avec son lustre, dont la moitié des ampoules ne s’allumaient pas, m’avaient achevé. Soudain ma main en glissant sous les coussins du dossier avait rencontré un objet rigide que j’avais tiré. Lydie avait un peu changé de visage en voyant ce que je sortais : une magnifique cravache de cuir noir que je regardais ébahi, sans doute un peu comme maintenant les menottes. Elle me l’avait prise des mains rapidement en m’expliquant :

-        c’est la cravache de mon amie qui est passée me voir en sortant de sa leçon d’équitation, elle l’a oubliée sur le canapé.

Sur le moment je n’ai pas mis en doute cette explication, somme toute logique. Mais les menottes ? elle va me dire qu’un ami policier les a oubliées dans la salle de bains en prenant une douche ?? Je reste songeur tout le temps de mon bricolage.. Je n’y comprends trop rien.

Lorsque Lydie rentre je viens de terminer, elle prépare un dîner rapide, salades et charcuterie. Elle s’étonne un peu de mon silence au cour du repas, que je mets sur le compte de la fatigue, j’en profite pour m’éclipser dès que nous avons terminé, je pourrai au moins voir la fin du match. Seulement le match c’est à peine si j’arrive à le suivre, quand il se termine je serais bien incapable de dire qui a marqué. Ma découverte me trotte dans la tête. Je vais faire un tour sur Internet avec ces 2 mots : cravache, menottes ; je découvre des magasins de vente de matériel sado-maso, et des blogs de dominatrices. Je navigue de l’un à l’autre, m’excitant à la lecture de récits d’hommes soumis à des Maîtresses utilisant ces objets. J’essaie d’imaginer Lydie dans une tenue comme celle que je vois à une des dominas. Puis je redescends sur terre, qu’es-ce que je vais imaginer ? elle a certainement une excellente raison d’avoir ces menottes, je ne les lui ai même pas montrées, me contentant de les reposer sur le meuble d’où elles étaient tombées.

 

Petit à petit j’ai oublié ce petit incident, mais j’ai pris goût par contre à visiter ces sites, et quand j’ai un moment de libre je les parcours, avec un plaisir dont je m’étonne. Je ne suis pas soumis !! d’ailleurs je vais aller voir les sites où ce sont des femmes qui se font dominer, je découvre de belles photos, c’est vrai qu’une femme soumise est quand même plus agréable à regarder d’un soumis, plus photogénique. Mais bizarrement cela ne m’apporte pas le même plaisir.

 

Je suis en train de me poser un tas de questions quand le téléphone sonne. Je vois s’afficher le numéro de Lydie.. je ressens un petit creux à l’estomac, et je décroche avec empressement.

-        bonsoir Lydie, ta salle de bain ne t’a plus posé de problème ?

-        Bonsoir Denis, non pas du tout, tu es un chef, tout marche à merveille.

-        Mais j’ai encore besoin de toi, j’ai acheté un nouveau meuble sous-lavabo et je voudrais que tu me l’installes.

-        Bien entendu ! je viendrai samedi après midi, comme ça j’aurai tout mon temps.

-        Merci Denis, c’est agréable d’avoir quelqu’un sur qui on peut compter. A samedi.

J’ai encore accepté sans discuter, elle me sonne et j’arrive.. Si ma mère savait, elle qui doit me rappeler plusieurs fois quand elle a quelque chose à faire, elle serait fâchée.

 

Le samedi à 14h je suis à pied d’œuvre, Lydie m’offre un café pendant que j’enfile ma tenue de travail, puis elle m’abandonne la salle de bain. Je commence par démonter l’ancien meuble, elle n’a même pas pris la peine de le vider, je prends la corbeille à linge et y range tout ce que j’enlève. Tiens, un rouleau de corde, tout neuf, 20m de cordage en polypropylène, comme ceux qu’on utilise sur les bateaux. Que peut-elle bien faire avec ça ? surtout dans un petit appartement. Ce n’est sûrement pas pour étendre le linge ! décidément je fais toujours de drôles de découvertes chez Lydie ! Une image surgit dans mon esprit, celle de soumis ligotés avec des cordes semblables.. Il faut que j’arrête, ça commence à me perturber un peu trop tout ça. Au travail ! en me reculant j’accroche le panier à linge sale, qui se renverse, je me hâte de ramasser, mais je suis un peu troublé par la lingerie qui me passe entre les mains. Elle a de bien beaux dessous cette Lydie,  je caresse les soutiens gorges de dentelle, les slips et strings arachnéens, je ne peux résister et je porte l’un d’entre eux à mes narines, humant le doux parfum qui s’en dégage, je suis en plein désarroi. C’est cet instant que choisit Lydie pour entrer, me trouvant à genoux au milieu de la salle de bain au milieu de ses dessous, en train de flairer un de ses slips .. je dois avoir l’air malin.

 

-        Et bien mon cochon, je t’y prends à te régaler de mes sous vêtements !! je ne te croyais pas si vicieux !!

D’abord surpris et gêné, je balbutie :

-        le panier s’est renversé, j’étais en train de tout ramasser, c’est tout..

-        ben voyons, et tu renifles mon slip pour mieux le ranger ?

La gêne fait soudain place à la colère :

-        et toi ! tu ne l’es pas vicieuse ?  qu’es-ce que tu fais avec cravache, menottes, cordes ? tu attaches tes visiteurs ??  peut-être que je n’ai pas vu jusqu’au fond du panier, il y a peut-être ta tenue de cuir ou de vinyle ?

C’est à son tour d’être mal à l’aise, et elle me regarde un peu interloquée par ma sortie. Mais elle se reprends vite.

-        j’ai l’impression que cela ne te dérangerait pas outre mesure.. Je me trompe ? tu aimerais peut-être bien que je t’attache au radiateur, nu, pendant que tu ferais ton travail ? et ensuite, si tu as bien travaillé, une bonne fessée pour te remercier ?

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Merveilleux récit de Maîtresse Lia, un vrai délice .......
Mais attendons la suite ..........

Bisous Lia

Par Mylady - Publié dans : RECITS
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