Jeudi 30 août 4 30 /08 /Août 12:28

Un jour, il y a plusieurs mois, je la croise sur un site, elle vient de me contacter.

 

Elle est triste, elle éprouve un immense besoin d’Amour, elle se diversifie d’aventure en aventure pour épancher cette soif. Une forme de sympathie s’établie entre nous car ni l’une, ni l’autre n’osait espérer un aboutissement. L’éloignement géographique en fut la raison principale, mais, ne dit-on pas que « l’amitié » n’a pas de frontière ?

 

Nous la cultivons virtuellement, elle me confie ses joies et ses peines, j’élude quelques questions me concernant, auxquelles je réponds néanmoins sincèrement mais sans approfondir. Cependant nous ressentons inconsciemment une attirance saphique réciproque, elle l’affiche, je lui fais comprendre à demi-mots qu’elle me plaisait. Mais, je reste sur mes gardes, trop souvent déçue par certains de ces messieurs qui se font passer pour une femme. Pour m’en assurer, je lui donne mon numéro de portable, elle me laisse un message, je suis à moitié rassurée. Par contre, elle n’eut aucun doute en ce qui me concerne.

Naïveté ? Confiance ? Intuition ?

 

Sa spontanéité me séduit, toujours est-il que nous continuons, épisodiquement, de dialoguer en ébauchant quelques désirs physiques et sensuels. Nos confidences sont de plus en plus sincères, je connais sa vie, elle connaît la mienne. Timidement, elle m’invite de lui rendre visite, je la sens sincère dans sa démarche, mais je n’en suis pas encore prête.

Jusqu’à ce jour, où je me décide enfin de lui accorder toute ma confiance. A tort ou à raison ? Peu importe, l’avenir nous le dira !

 

Lors d’une conversation, elle m’a confié qu’elle aimerait tomber amoureuse, qu’elle aimerait à nouveau retrouver ce qu’elle a vécu avec une femme, sentiments profonds, sensualité. Ce vide qui ne demande qu’à être comblé, ces pensées qui n’iront que vers celle qu’elle attend.

 

Je suis là ! Je t’attendais moi aussi !

 

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P.S. J’espère pouvoir t’écrire des suites……

Par Mylady - Publié dans : FEMMES
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Mardi 28 août 2 28 /08 /Août 22:32

Installée dans le canapé, Anne devient voyeuse, elle adore les voir s’exécuter dans des positions inconfortables mais obscènes. Leurs râles voluptueux lui procurent un bonheur inouï, des vibrations intenses parcourent son ventre pour libérer son orgasme silencieux en fusion avec celui d’Esther. La verge de Willy augmente de volume en voyant l’expression de son épouse, il reconnaît son plaisir et se lève pour lui dédier son éjaculation. Esther, à genoux, s’empare goulûment de son sexe, elle est experte en la matière la gueuse, Willy ferme les yeux de délectation. La même sensation traverse le corps de la voyeuse, les bruits de lapements de langue et de sussions la font couler d’une source de liqueur brûlante. Un nouvel orgasme s’annonce, Esther active son rythme, assoiffée de sperme. Willy se retient, il a ouvert ses yeux et plonge son regard dans celui de sa bien aimée. Il attend sa jouissance, il veut la partager avec elle, pour elle. Lui prouvant sa reconnaissance, Anne émet ses petits halètements de montée en puissance, ferme les yeux, entend le cri de Willy qui fuse dans ses entrailles. Anéantie, elle s’allonge de tout son corps pour déguster et apaiser ses sens. Willy retient Esther qui voulait la remercier, il sait qu’il ne faut pas déranger Anne dans son extase. Elle sent qu’ils s’accroupissent silencieusement devant le canapé dans cette attente et plonge dans un sommeil réparateur.

L’orage qui gronde la réveille, William et Esther somnolaient toujours à terre, leurs têtes posées sur le canapé.

-        Debout les paresseux, il faudrait allumer un bon feu de cheminée ! Vous devez être transis tous les deux.

-        Pour ma part, je me sens à merveille, Anne. Je t’aime.

-        Moi aussi, mon amour ! Je rêvais de notre complicité tacite, ce fut d’une beauté incomparable.

-        Comme tout ce que tu m’apportes, je suis comblé.

-        Allume le feu, William ! Tu émerges ma douce Esther ?

-        Quels délices, Anne ! Mon corps en est empli, j’ai l’impression d’être sur un nuage.

-        Viens prêt de moi, que je te réchauffe. Embrasse-moi !

 

Elles échangent leur premier baiser, Esther pleure de joie et se blottit contre sa tendre amie qui l’enserre dans ses bras en ouvrant son déshabillé pour couvrir son corps tremblant. Enlacées, elles offrent une image d’une rare beauté à William, elles ne font plus qu’une. Le visage d’Esther se love entre les seins de son amante sans bouger, ses larmes coulent toujours et humidifient la fine soie de sa lingerie. Anne lui caresse les cheveux pour l’apaiser, émue des sensations qui traversent tout son être.

-        William, pourrais-tu faire chauffer l’eau pour le thé ? Je sens que ma petite pleureuse n’a pas envie de quitter la chaleur de mon corps.

-        Je la comprends ! Je peux vous prendre en photo ? Jamais je n’aurais pu imaginer une telle apparition de deux nymphes enlacées.

-        Si tu veux, ce sera un souvenir inoubliable.

 

Grand amateur de photos, William mitraille les jeunes femmes sous tous les angles. Satisfait, il se rend en cuisine, pour revenir après un long moment muni d’un plateau délicieusement garni de pain, beurre, confitures et miel. Il dresse la table basse et attend le déchirement de la séparation des nymphes avant de pouvoir servir le thé.

-        Nous aurons encore d’autres moments tendres, ma chérie. Nous allons reprendre un peu de forces.

-        Je n’arrive pas à me rassasier de ton corps, ta peau est si douce, Anne. Si tu savais combien je t’aime !

-        Moi aussi, mon cœur !

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Extrait de mon manuscrit : Les secrets du boudoir

Par Mylady - Publié dans : MES ECRITS
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Dimanche 26 août 7 26 /08 /Août 18:16

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SUPPLICATION

 

Poème de Mylady

 

 

Oh ! Ma Déesse

Ma Maîtresse

Mes yeux se baissent

Mes genoux s’affaissent

 

Je suis empli de dévotion

De vénération

De soumission

D’adoration

 

A vos divins pieds

Pour être châtié

Sans pitié

Mon dos est plié

 

Subir vos délices

De cuisantes cicatrices

Selon vos caprices

De tous vos sévices

 

Machiavéliques

Sadiques

Psychologiques

Physiques

 

Je vous supplie humblement

D’accepter mes tourments

Ma peur, mes tremblements

De m’emporter au firmament

 

Oh ! Ma Déesse

Ma Maîtresse

Mes yeux se baissent

Mes genoux s’affaissent….

 

Par Mylady - Publié dans : POEMES
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Vendredi 24 août 5 24 /08 /Août 23:21

Etant l’une d’entre elles, j’en suis fière mais je ne les approuve pas pour autant.

 

Sur le net, il y a plusieurs catégories, autant chez les femmes que chez les hommes : les personnes mariées qui cherchent à se divertir et faire perdre le temps aux autres, autant que les fantasmeurs et les fantasmeuses. Trop souvent, des hommes qui se font passer pour des femmes pour, je ne sais quelle raison incompréhensible qui les pousse à ces délires. Vouloir se confondre à elles ? Frustrés d’être un homme ? Le plus souvent et j’en ai fait plusieurs expériences, pour une raison toute simple : parce qu’ils ne rentrent pas facilement en contact avec une Dominatrice via le net. Ce subterfuge est navrant, mais à qui la faute ?

Alors, chères consœurs, même si vous êtes submergées de messages, au lieu de les ignorer, la moindre des politesses serait de leur répondre par ces quelques mots :

-        Bonjour, désolée, je suis occupée, bonne chance !

 

Ces dix secondes ne vous feront pas perdre la perle rare avec laquelle vous êtes en dialogue et peut-être avez-vous volontairement ignoré celle qui vous attendait.

Soyons respectueuses envers les personnes qui nous sollicitent afin de ne pas être traitées de fantasmeuses à notre tour. Cela ne pourra que nous aider, surtout les Dominatrices dignes de ce nom.

 

Inversement, je parlerais également des « soumises » voir « pseudo » soumises. Beaucoup d’hommes se font également passer pour des femmes pensant que la solidarité féminine puisse les aider. FAUX !! Votre sort aura le même résultat et ne croyez surtout pas que nous sommes dupes. Il est vrai que ces chéries sont des denrées rares, il nous arrive de vouloir croire en leur sincérité et d’espérer saisir l’opportunité d’une relation sincère. Que de déboires, que de déceptions !!

Ne soyez pas étonnées que nous devenions blasées et que nous ne pouvons plus croire en personne alors qu’il existe certainement une petite soumise, un vraie, qui trouverait son bonheur.

 

 

P.S : Je t’attends !!! Tu es belle comme un cœur.

Viens à moi !

Par Mylady - Publié dans : FEMMES
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Vendredi 24 août 5 24 /08 /Août 16:12

Le plus important dans une relation est de communiquer, d’arriver à comprendre l’autre. Quels que soient les éléments perturbateurs, il suffit de les exprimer et surtout de les vivre pleinement. Les personnes qui n’arrivent pas à ce raisonnement sont à plaindre, elles sont frustrées durant toute leur vie.

Cette vérité est d’autant plus intense entre deux êtres dont l’un domine l’autre. Pourquoi se voiler la face ? Pourquoi ne pas assumer sa manière d’être ? Pourquoi souffrir sans en faire profiter celui ou celle qui n’a d’autre volonté que de soulager des désirs profonds ?

Tabous, éducation, peur ? OUI !!!

Mais quel bonheur de pouvoir enfin se libérer et VIVRE !!!

Par Mylady - Publié dans : CONSEILS - Communauté : Domination !! Soumission...
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Vendredi 24 août 5 24 /08 /Août 15:38

 

D’après son auteur, les deux piquets représentent l’homme et la femme, je vous laisse deviner lequel est la femme……

Voyez combien ils se ressemblent, leur nourriture spirituelle est puisée dans la même terre. L’un représente la force de caractère, l’autre lui est inférieur relié par un fil barbelé avec une offrande symbolique.

Soudés l’un à l’autre, le renoncement de l’un qui se veut captif de ce pilier qui saura le protéger, le diriger, le contraindre.

La petite chose supplie à genoux d’accepter ces bracelets d’argent qui scintillent au soleil, il lui fait don de sa personne en présentant ses poignets afin que l’emprise se referme à jamais.

La force accepte et s’empare de ces bijoux en empoignant les bras de son esclave d’amour.

 

Par Mylady - Publié dans : MYSTERES
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Jeudi 23 août 4 23 /08 /Août 20:15

Mylady, Dominatrice provinciale pour laquelle, ce fut la première fois qu’elle franchissait le pas de l’antre du Marquis.

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Philippe est très accueillant, prend soin de mes affaires au vestiaire et me fait visiter les lieux. Je suis ébahie par la finesse du décor, des meubles de style, de l’agencement des accessoires SM dans les différentes alcôves. Un jeune soumis, nu, chaîne attachée au collier de son cou reliée par un anneau au sexe, est installé, jambes écartées sur une table de gynécologie. Philippe me confie qu’il est à disposition……

Je continue la visite et découvre un charmant écritoire à plumes, quel merveilleux endroit……… Mon imagination fertile traverse mon esprit avec de délicieux sévices……

Mon hôte me reconduit au salon-bar, je m’installe sur un canapé, un soumis s’assied à mes pieds. Appelons-le Dylaro. Il est muet, baisse les yeux, je ne lui accorde pas mon regard lequel fait le tour de l’endroit.

Sur un canapé à ma gauche sont assis, un Dominateur avec sa soumise, une Dominatrice, une autre femme soumise et un couple de lesbiennes. Ce petit monde se connaît et bavarde à bâtons rompus.

En face, un couple encore inconnu avec plusieurs personnes dont une jeune femme et un homme qui ne me quitte du regard.

J’ordonne à Dylaro de me chercher une boisson, son plaisir étant de me servir et d’être à mes pieds. Les membres commencent à aller et venir d’une alcôve à l’autre, tantôt celles du bas, tantôt celles à l’étage.

Je fume tranquillement ma cigarette et m’abreuve en prenant plaisir à observer ces va-et-vient, écoute la musique et permets quelques mots à Dylaro.

Je lui demande de visiter les lieux et de me faire un rapport de ce qui se passe.

L’homme en face de moi m’envoie un petit signe interrogatoire de la tête, je lui permets de s’approcher, de s’installer sur le tabouret et lui demande sa position : « Je suis soumis, Madame, j’aimerais être fouetté. Si tel est votre désir, ce serait un honneur pour moi de m’offrir à vous. »

Oui ce serait un grand plaisir pour moi et je lui dis : « Va au bar où sont accrochés différents martinets, fouets et cravaches et choisis l’instrument de ta torture. Tu montes dans l’alcôve où se trouve le lit, tu te mets nu et tu m’attends !!! »

Il choisit un fouet à queues multiples, me le présente pour mon assentiment puis monte les escaliers.

Dylaro revient et me raconte ce qu’il a observé. Satisfaite de son rapport, je lui ordonne de rester assis sur le tabouret et me dirige vers l’escalier pour rejoindre l’autre « soumis ". Pour accéder dans la pièce choisie, je passe devant l’écritoire puis une autre alcôve dans laquelle se trouvent plusieurs personnes, silencieuses, je me demandais quelle en est la raison. Je suis obligée de me frayer un passage pour atteindre l’endroit que j’ai choisi. J’ouvre le rideau, « soumis » est couché sur le ventre, nu, le fouet allongé dans son dos en guise d’offrande. J’ai trouvé ce geste sublime et m’empare du fouet. Debout, je me penche vers lui pour lui caresser le dos et les fesses avec mes mains pour m’imprégner de sa peau et de ses frissons. Je sens quelqu’un derrière mon dos, me retourne et je comprends ce que tout ce petit monde attendait. Ils étaient intrigués de voir « soumis » sur le lit, seul, en patientant la venue de celle ou celui qui allait lui infliger ses délices. La pièce est trop petite et je ne permets qu’à un seul couple de rester et leur demande de fermer le rideau derrière eux. J’avais oublié la glace sans teint, mais peu importe. Je commence à caresser les fesses et le dos de « soumis », mais cette fois-ci avec mon fouet en accentuant la cadence et la force des coups. J’entends des murmures de pitié provenant de la femme du couple. « soumis » lui, par contre, reste stoïque et réceptif, bien trop masochiste et fier pour implorer une trêve. Ma force se décuple et le fouet fait des tourbillons, une valse délicieuse qui me donne une satisfaction intense. Je fais une pause, le couple est fasciné (appelons Monsieur : Jo et Madame : Joëlle. Jo me demande d’apprendre à Joëlle comment manier le fouet car il aimerait qu’elle le domine. Après en avoir demandé l’assentiment à « soumis », car il ne m’appartient pas officiellement, je tends le fouet à Joëlle et la guide au maniement. Ce qui fut amusant, est le fait que « soumis » ait de suite constaté la douceur de Joëlle, sans la voir. Je lui reprends l’instrument pour faire comprendre à ce cher homme qui est Mylady, il a saisi la nuance et a même murmuré quelques soupirs de douleur.

Joëlle est satisfaite et me pose un baiser sur la bouche, Jo rêve d’être à la place de « soumis » offert à son épouse. Nous laissons « soumis » sur son lit à se remettre et descendons rejoindre Dylaro, lequel attendait toujours sur son tabouret.

Joëlle s’installe à mes côtés sur le canapé, Jo un peu plus loin. Nous bavardons de choses et d’autres, de leur vie de couple libérée voir très libérale ? Joëlle me prend par la taille et me pose de merveilleux petits baisers dans le cou.

Nous reprenons un verre et quelques friandises en papotant et voilà « soumis » qui revient pour me quémander une nouvelle série de coups. Encouragée par mes nouveaux amis, je m’exécute avec grand plaisir, puis après quelques dizaines de caresses extrêmes, je reviens vers eux.

« Aurais-tu envie de câlins ma chérie ? »  « Oh oui !! Je t’adore Mylady »

J’invite Dylaro et Jo à nous suivre pour assister à nos ébats. Ils ne se sont pas fait prier et « soumis » nous ayant aperçu, ne s’est pas privé non plus. Par contre, je lui ai ordonné de sortir de la pièce et de nous regarder par la lucarne, ce qu’il fit tout penaud.

Joëlle se déshabille entièrement, offerte. Pour ma part, je n’enlève que mon chemisier transparent, mes bottines à talons aiguilles, leur offrant mon buste moulé dans ma guêpière en dentelle noire, ma jupe longue fendue et mes bas noirs. Je m’allonge vers Joëlle, je l’embrasse tendrement en lui caressant les seins que je prends à pleine bouche. Elle gémit de plaisir, ses tétons entre mes dents et ma langue qui leur donne une merveilleuse érection.

Dylaro me lèche les jambes, Jo caresse le sexe de sa femme, « soumis » nous envie. Heureuse, Joëlle se rhabille en m’offrant sa bouche, Dylaro toujours à mes pieds, Jo excité de voir sa femme caressée par une Dominatrice et voilà « soumis » qui en redemande pour la troisième fois. Emoustillée par mes ébats avec Joëlle, j’avais envie de me défouler pour le plus grand plaisir de « soumis »

Nous descendons au salon-bar, heureux et repus et reprenons des consommations pour nous désaltérer. Nous entendons un bruit de fouet et décidons d’assister à cette séance. Le dominateur est accroupi à une distance calculée de sa soumise, laquelle est à genoux sur un tabouret de prieur, nue, droite et offerte aux caresses de ce fouet d’une grande souplesse et long d’environ deux mètres. Le dominateur le manie avec une dextérité jubilante, il claque sans atteindre la peau de sa soumise, le bruit fait frissonner la belle. De temps à autre, avec un effet bien défini, ce merveilleux instrument frôle à peine le dos ou les fesses de la suppliciée et laisse des traces d’un rouge vif, prouvant l’intensité de ce dangereux fouet à ne manier que par un expert.

Je félicite en passant ce Dominateur dont je ne connais pas le nom.

Le club commence à se vider, Jo et Joëlle me saluent chaleureusement, je me décide à partir également en demandant à Philippe de m’appeler un taxi.

« Votre après-midi vous fut agréable Mylady ? » Me demande t’il ?

Oui, elle le fut, la preuve en est que je lui dédie mon récit.

 

A bientôt

Par Mylady - Publié dans : HISTOIRES VECUES
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Mercredi 22 août 3 22 /08 /Août 23:40

Cela peut faire sourire plus d’unes ou plus d’uns, mais à ce jour j’en suis fière et comblée. 

10AOUT2007-014.JPG

 

Effectivement, les mâles ne pouvaient concevoir cette abstinence, ce don de soi, cette ultime abnégation envers leur Maîtresse, sans parler d’une preuve infaillible de fidélité. Le sujet fait parler beaucoup de soumis, ils en rêvent, ils en fantasment, par contre, de réaliser cette offrande reste une autre paire de manches.

L’histoire raconte essentiellement la chasteté féminine lors des départs en guerre des époux, leurs épouses n’avaient de choix et attendre leurs retours. Situation forcée et incontestable, contrairement à celle d’un esclave soumis et consentant de nos jours.

Plusieurs sites et forums permettent aux adeptes d’échanger leurs appréciations comme leurs appréhensions. La décision est lourde, elle ne se prend pas à la légère, avec et pour n’importe qui. L’âge n’est pas le facteur principal, comme on pourrait le présumer, ni la baisse d’une libido, loin s’en faut. La virilité est à son apogée, la preuve d’amour est au paroxysme envers sa Maîtresse.

La résolution est prise par l’esclave, la Dominatrice se doit d’être responsable de son dévouement et de préparer un rituel de pose qui marquera cette union comme une cérémonie. C’est sérieux, c’est profond, c’est beau. L’esclave offre sa chasteté, la Dominatrice l’accepte en tout état de cause. Le cadenas se referme, la clé est unique, elle orne la gorge de la propriétaire du fidèle captif. L’ambiance est émouvante, la tendre amie, Dominatrice également, conviée en tant que Marraine, pose les questions sacramentaires de cette alliance.

 

« OUI, JE LE VEUX »

« OUI, JE L’ACCEPTE »

 

Il est certain qu’une vie commune n’est pas à envisager, cela n’aurait aucun sens. Par contre d’être éloignés, l’un avec sa ceinture de chasteté l’autre avec la clé du trésor, les unit. L’esclave se sent possédé, dépendant, contraint, la Dominatrice heureuse, fière et comblée !!!

 

Cela fait quinze jours qu’ils sont séparés, comment se dérouleront les retrouvailles ??? 

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Par Mylady - Publié dans : CEINTURE DE CHASTETE MASCULINE
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Mercredi 22 août 3 22 /08 /Août 04:52

Titre de mon manuscrit actuellement en comité de lecture chez différents éditeurs dont voici un extrait :

"

Le lit fait deux mètres de large, idéal pour y placer deux soumises face à face et deux dominatrices qui auront tout loisir de prendre leur élan à chaque extrémité.

Les suppliciées sont en place, tremblantes mais cambrées, offertes au bon vouloir de leurs Maîtresses. Un regard complice vers Grâce, puis la concentration de nos sens annonce la tempête. L’océan gronde au loin, les vagues gonflent dangereusement, le vent hurle, comme le bruit de nos cravaches qui transpercent l’air. Tantôt l’une, tantôt l’autre comme un concerto synchronisé : «  Le grand duo pour corps et fouets en SM majeur » Les vagues s’approchent de plus en plus vers leur destination ultime, la première s’abat avec lenteur, se retire pour prendre une nouvelle force, revient avec un bruit sec, repart chercher sa vigueur laquelle se multiplie en plusieurs fracassements secs et rapides. L’océan se retire, nos mains en profitent pour caresser ces fesses délicieusement colorées. Les soumises restent impassibles mais non moins fébriles. Les dominatrices intraitables et décidées, en position pour suivre les mouvements des vagues. L’écume qui jaillit à l’horizon, présage un déferlement d’une puissance insupportable. Eclairs, tonnerre, les cravaches frappent et frappent encore ! Les rouleaux arrivent au galop et s’abattent avec frénésie contre les dunes rebondies de nos larmoyantes. Elles hurlent plus fort que le vent, se jettent à terre, enserrent nos jambes pour baiser nos pieds avec des cris de remerciements.

Nous restons impassibles, malgré notre transe, fières et en sueur. Quelle majestueuse tempête ! Quel fantastique concerto ! Quel merveilleux duo !

 

Par Mylady - Publié dans : MES ECRITS
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Mercredi 22 août 3 22 /08 /Août 02:15

La domination est un art  ;

La soumission une vertu  !

 

Je publie mon poème comme premier article, à vous de me faire part de vos commentaires !

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L’ART ET LA VERTU

Poème de Mylady

 

 

L’art de la domination est une vertu ;

La vertu d’une Dominatrice est tout un art.

 

On ne peut dominer qu’un être que l’on aime ;

On ne peut se soumettre qu’à un être que l’on vénère.

 

C’est un jeu sensuel basé sur le respect ;

Une complicité à part entière, cérébrale et physique ;

Les sensations obtenues sont à délecter.

 

La Dominatrice éprouve ce pouvoir de se faire donner du plaisir ;

Le soumis de lui offrir.

 

Le sentiment qui les unis est très profond ;

Il ne s’agit pas d’amour avec un grand A ;

Mais d’un sentiment bien plus ancré qui est l’Appartenance.

 

L’Amour peut être éphémère ;

L’Appartenance, elle, est une soudure ;

L’enchaînement de deux êtres consentants.

 

L’imagination qui les conduit à l’extase ;

L’amour de la sensualité extrême ;

L’érotisme atteignant son apogée.

 

La tendresse de la Dominatrice envers son soumis ;

La dévotion du soumis envers sa Maîtresse.

 

L’attente des caresses et des punitions ;

Le bon vouloir de les donner.

 

De se faire désirer pour l’une ;

D’en souffrir d’envie de l’autre.

 

Tous les sens sont en éveil ;

D’être possédé corps et âme ;

D’en disposer avec volupté et délicatesse.

 

L’espoir de l’acte d’honneur qui les unit ;

La virilité que démontre le soumis ;

La satisfaction de la Maîtresse, ravie ;

Une jouissance sans fin qui les emplit.

 

La fougue des gestes qui peuvent être tendres et durs ;

La perception des caresses et de la douleur.

 

Le désir de se libérer doit durer longtemps ;

Car l’apothéose n’explose que quelques courts instants.

 

C’est ainsi que je conçois l’art de la domination ;

Et mon soumis, la vertu de son adoration.

 

 

Par Mylady - Publié dans : POEMES
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